• L'école DOIT respecter le décret qui lutte contre la discrimination.

    Même si le gouvernement préfère la négociation à l'injonction politique (*),

    la loi est la loi. 
     
    (*) cabinet Simonet, octobre 2012
     
     
     
    L'école DOIT respecter le décret qui lutte contre la discrimination.  
     

    Cette brochure vaut pour tous les types d'enseignement.
    Pour l'enseignement supérieur et de promotion sociale aussi.
    Par facilité, on parlera d'élèves dans cette brochure.
    Pour que ce soit facile à comprendre.
     
    A la fin de la brochure, il y a toutes les références de lois et les bonnes adresses."
     
    La brochure, en ligne,
    cliquer au fond de la page 

    "A L ECOLE DE TON CHOIX AVEC UN HANDICAP"

     

    L'école DOIT respecter le décret qui lutte contre la discrimination. Les élèves en situation de handicap ont droit à des aménagements raisonnables à l’école. Un aménagement raisonnable est une mesure concrète permettant de réduire, autant que possible, les effets négatifs d’un environnement inadapté sur la participation d’une personne à la vie en société.

    Le Centre pour l’égalité des chances et la lutte contre le racisme reçoit régulièrement des signalements émanant de parents d’enfants en situation de handicap qui font part des difficultés rencontrées pour mettre en œuvre des aménagements raisonnables à l’école. Les textes légaux qui imposent les aménagements raisonnables ne sont pas assez connus des parents, des directions d’écoles, des équipes éducatives et leur application concrète est encore souvent difficile.

    Cette brochure vise à informer, sur le plan juridique, les élèves, les parents, les équipes éducatives, les directions d’établissements scolaires et les acteurs du monde de l’enseignement sur la notion d’aménagement raisonnable.

    Ci-dessous, nous vous présentons la version en langue des signes belge francophone de la brochure 'A l'école de ton choix avec un handicap'. En dessous de cette page, vous pouvez télécharger les versions pdf, Word et facile à lire de la brochure.

    http://www.diversite.be/sites/default/files/documents/publication/cgkr_redelijkeaanpassingen_fr_dec2014.pdf

     

     

     


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  • Accès aux formations pour les personnels de l’Éducation Nationale

     

    Accès aux formations pour les personnels de l’Éducation Nationale

     

     

     

     

    http://canalautismev1.weebly.com/pour-les-enseignants-et-les-avs.html

     

     

    Accès aux formations pour les personnels de l’Éducation Nationale

     

    La plateforme Canal Autisme est accessible à tous gratuitement, seul l'accès aux formations est payant.

    En tant que personnel de l’Éducation Nationale (enseignant ou AVS), les formations que vous suivez sur Canal Autisme sont prises en charge dans le cadre de la subvention liée à la convention avec le FIPHFP.

    Pour accéder aux formations, il vous suffit de remplir le formulaire ci-dessous ; nous vous ferons parvenir un code d'accès strictement personnel.

     

    Nous vous demandons votre adresse e-mail académique pour vérifier que vous êtes bien un personnel de l'Éducation Nationale. Pour les AVS qui ne disposent pas d'adresse académique, veuillez vous rapprocher de l'enseignant de votre classe, il pourra effectuer la demande pour vous.
     
     
     

    Comprendre le fonctionnement autistique et pointer les incidences sur les apprentissages

    Cette formation vous propose de  comprendre (à partir de témoignages et de séquences vidéo) le fonctionnement autistique, de vous mettre à la place de ces personnes, de voir le monde avec leurs yeux afin de cesser d’interpréter leur comportement à partir de vos propres normes et de faire preuve d'empathie.

    Cette formation propose également de vous aider à prendre en compte ce fonctionnement particulier, la singularité de la personne avec autisme en situation d’apprentissage, en attirant l’attention sur un certain nombre de difficultés et d’obstacles qui doivent constituer des points de vigilance.

    Christine PHILIP
    J’ai exercé les fonctions d’enseignante et de formatrice d’enseignants spécialisés pendant une trentaine d’années dans les centres nationaux de formation de l’Éducation Nationale dont l'INS HEA (Institut National Supérieur pour le Handicap et les Enseignements Adaptés).

    A l’origine professeur certifié de Philosophie j’ai fait une thèse en Sciences de l’Éducation sur l’autisme en 2008 (publiée chez Dunod : Autisme et parentalité) et je suis devenue Maître de conférences en 2009.
       

    Descriptif





























    Dates & lieux
    • Pré-requis
    Aucune connaissance spécifique n'est nécessaire pour suivre cette formation.

    • Plusieurs thématiques seront abordées pendant cette formation
    - le fonctionnement des personnes avec TED
    - la représentation de la différence
    - le traitement des informations par les personnes autistes
    - la compréhension des déficits de communication (verbale et non-verbale)
    - les aspects sensoriels et perceptifs
    - l’importance de l’individualisation de la pédagogie
    - la prise en compte des besoins particuliers des personnes avec autisme

    • Les outils & moyens pédagogiques
    Une formation 100% en ligne disponible 24h/24, 7j/7, composée de modules vidéo courts avec :
    - un support qui présente les particularités du fonctionnement autistique
    - des séquences vidéo où s’expriment des personnes TED
    - des échanges avec les membres de la communauté Canal Autisme
    - le témoignage d’un chercheur qui est à l'écoute des personnes autistes
    - plusieurs situations pédagogiques faisant apparaître des compétences comme des difficultés particulières apparaissant dans le cadre de l'apprentissage de ces élèves et qui tiennent compte de la diversité des profils dans le spectre autistique afin de comprendre l’importance de la singularité de ces personnes et du rôle de l’observation en situation d’apprentissage

    • Durée
    Cette formation dure environ 3 heures


    Cette formation est déjà disponible vous pouvez vous inscrire dès maintenant pour en profiter.
    Elle est 100% en ligne vous pourrez donc la suivre où vous voulez et quand vous le voulez depuis un ordinateur connecté à Internet ! A votre rythme et en toute tranquillité.

     


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  • La mémorisation 

    Les études universitaires visent différents objectifs, dont celui de comprendre en profondeur les notions présentées. Effectivement, il est primordial de bien comprendre les notions étudiées, mais il faut aussi s'en souvenir ! ! Or, plusieurs étudiantes et étudiants sous-estiment la mémorisation pour leur préparation aux examens. Il est fréquent que les examens demandent une bonne mémorisation des notions développées lors de la session. Il est donc important de prendre les moyens afin d'y arriver. Cela permettra de soutenir votre compréhension des notions lors de l'évaluation.


    Une première étape : la sélection des priorités

    La récitation... difficile de s'en passer !

    Révisez rapidement les notions mémorisées... pour ne pas repartir à zéro

    Mémorisation sous forme de mots et d'images

    Prenez une pause... pour mieux intégrer l'information

    Alternez les matières étudiées, ainsi que le type d'étude

    Les courtes périodes d'étude ou de révision ne sont pas inutiles !

    Utilisez votre imagination... pour faire des associations

    « J'ai un blanc de mémoire à l'examen... quoi faire ? »



    Une première étape : la sélection des priorités Tentez d'identifier les notions prioritaires à mémoriser. Pour la majorité des cours de premier cycle, commencez par les notions développées directement lors du cours (s'il s'agit de cours magistraux) et les exercices, s'il y a lieu. Les lectures préparatoires aux cours vous permettront de mieux suivre lors de la séance, cependant il est préférable de débuter par la mémorisation des notions principales que de tenter de mémoriser tous les détails des manuels. S'il y a des questions en fin de chapitre dans vos lectures, vous pouvez les utiliser afin de cibler les notions à mémoriser. Évidemment, il y a différentes méthodes d'enseignement et d'évaluation. Consultez vos professeurs ou professeures en cas de doute.

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    La récitation... difficile de s'en passer ! Afin d'emmagasiner l'information en mémoire à long terme, la majorité des personnes doivent utiliser la récitation, c'est-à-dire qu'elles doivent tester leur mémoire sans le support du texte écrit qu'elles désirent retenir. Lorsque vous identifiez une notion à mémoriser, étudiez-la afin d'obtenir une bonne compréhension. Par la suite, tentez de dire (ou d'écrire) la notion sans regarder votre document. Le fait de tester votre mémoire sans le support du texte vous permettra de stimuler beaucoup plus votre mémoire que la lecture seule. Dans la majorité des cours de premier cycle, l'idéal serait de réciter l'information afin de pouvoir vous souvenir du matériel exactement et rapidement lors de l'examen. Les exigences de mémorisation peuvent cependant varier. À la suite du premier examen, vous pourrez ajuster votre méthode.

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    Révisez rapidement les notions mémorisées... pour ne pas repartir à zéro Afin de fortifier votre mémoire, revenez rapidement sur ce que vous avez récité, et ce, à mesure que vous avancez dans la matière. Testez votre mémoire après de courtes parties de matière. Cela évitera de reprendre à zéro votre mémorisation à toutes les fois que vous reprenez l'étude d'une même matière. Pour ce faire, vous pouvez utiliser des résumés sous forme de mots-clés qui vous permettront de tester vos connaissances. Voici un exemple : Imaginons une partie de texte qui présente les cinq principales caractéristiques de la théorie XYZ. Votre résumé pourrait comprendre uniquement les mots suivants : « 5 caractéristiques théorie XYZ (p. 145) ». Lors de votre révision, vous devrez vous souvenir des caractéristiques en question. Si vous avez oublié l'information, retournez au texte à la page identifiée. De plus, revenez rapidement sur ce que vous avez appris à la fin de votre période d'étude. Vous pouvez le faire en tentant de vous remémorer les notions, en relisant ce que vous avez souligné, en parlant des informations à quelqu'un ou en utilisant la stratégie de résumé ci-dessus. Prenez au moins dix minutes de révision pour chaque heure d'étude que vous avez fait. Si vous ne revenez pas rapidement sur les notions apprises, il est très probable que vous en oublierez une bonne partie dans les 24 heures qui suivent. Bien tester votre mémoire après une période d'étude améliore l'efficacité de la prochaine période.

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    Mémorisation sous forme de mots et d'images Afin d'utiliser l'ensemble de vos capacités, vous pouvez tenter de mémoriser une notion sous forme de mots et également d'images. Il est possible de transformer un concept en image ; cette stratégie favorise la mémoire.

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    Prenez une pause... pour mieux intégrer l'information En plus d'aider à la concentration, les pauses facilitent le transfert de l'information en mémoire à long terme en permettant à cette information de s'intégrer aux connaissances déjà maîtrisées. Cependant, ce phénomène naturel se réalise dans la mesure où il y a une certaine détente des facultés intellectuelles. Prenez des pauses de 10 minutes à chaque 50 minutes. Lors de ces pauses, vous pouvez, si possible, bouger un peu, bien respirer, prendre de l'air frais. Évitez un loisir que vous aimez beaucoup lors de ces pauses ; vous pourriez oublier le temps qui passe.

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    Alternez les matières étudiées, ainsi que le type d'étude Les capacités de mémorisation ainsi que la motivation peuvent diminuer si vous tentez d'étudier pendant plusieurs heures le même type de matière. Si c'est possible, vous pouvez alterner le type de tâche, par exemple en passant d'une étude de notions théoriques à la résolution de problèmes ou d'exercices.

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    Les courtes périodes d'étude ou de révision ne sont pas inutiles ! Si vous étudiez des notions qui sont plus difficiles à retenir pour vous, de courtes périodes de révision pourraient être utiles et efficaces. Vous pouvez écrire sur un petit carton une question qui réfère à la notion qui pose problème et écrire la réponse à l'endos. Vous pouvez utiliser ces petites cartes à différents moments, par exemple lorsque vous attendez un ami, dans une file d'attente, dans l'autobus ou autres. Ces courtes périodes de questionnement peuvent vous faire sauver du temps d'étude et améliorer votre efficacité.

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    Utilisez votre imagination... pour faire des associations Vous pouvez faire des associations entre la notion à mémoriser et des exemples d'application, des utilités possibles, des expériences personnelles qui pourraient référer de près ou de loin à la notion ou à des notions déjà maîtrisées. Les associations stimulent la mémoire à long terme.

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    « J'ai un blanc de mémoire à l'examen... quoi faire ? »   Premièrement, ne pas paniquer ! Une anxiété élevée interfère avec la mémoire (voir le texte La préparation des examens). Tentez plutôt de diriger votre pensée sur la matière, mais de façon générale plutôt qu'en vous orientant essentiellement sur la réponse recherchée. Posez-vous des questions telles que « qu'est-ce que j'ai appris dans ce cours ? », « quel était le sujet général ? », « quel type d'exercices ai-je fait ? ». Par la suite, tentez de rapprocher votre esprit du chapitre pertinent à la notion, par exemple en vous demandant « qu'est-ce que j'ai vu d'autre dans ce chapitre ? ». Ce type de réflexion permet de stimuler les liens entre les notions, ce qui peut aider à retrouver l'information. Si vous ne retrouvez pas l'information, changez de question pour y revenir plus tard.



    Rédigé par:


    Dominique Dubé, psychologue


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  • La concentration

     

     

    Il n'est pas suffisant de vous asseoir devant vos livres et de tourner les pages pour faire une étude efficace. Il faut également orienter votre attention sur la tâche, ce qui est plus difficile. La concentration est l'orientation de l'ensemble des activités mentales vers un seul objet et elle est la base d'un travail intellectuel efficace. Comme le sommeil, la concentration n'est pas sous votre contrôle direct, c'est pourquoi vous devez tenter de contrôler les facteurs externes (ex. : endroit choisi) et internes (ex. : activités mentales) qui l'influencent. La concentration est fragile et plusieurs variables peuvent l'influencer, telles que les stimulations de votre environnement ou vos inquiétudes. C'est pourquoi il est plus efficace d'élaborer un plan d'action afin d'améliorer votre concentration que de vous blâmer pour un manque d'efficacité dans votre travail.


    Un endroit adéquat pour l'étude... et seulement pour l'étude

    « Je me réchauffe l'esprit... »

    Un travail divisé = un esprit structuré !

    « Si je bloque sur une notion »

    Récompensez-vous !

    Quoi faire pendant vos pauses ?

    « Des idées me trottent dans la tête, comment les chasser ? »

    Être en forme !

    Des stratégies d'étude qui stimulent la concentration

    Concentration et motivation



    Un endroit adéquat pour l'étude... et seulement pour l'étude
    • Tentez d'éliminer ou de réduire les distractions dans le milieu où vous travaillez (télévision, radio, nourriture, autres personnes, etc.).
    • Essayez, si possible, d'utiliser toujours le même endroit pour votre étude. Cet endroit sera donc associé à la concentration.
    • Évitez le lit comme lieu de travail. Il est important de travailler dans une position qui incite à l'action, donc une position assise et légèrement inclinée vers votre travail et non le contraire.
    • Évitez la musique, à moins d'en être incapable. Si cela vous aide à vous concentrer, choisissez une musique instrumentale que vous connaissez bien. Le disque que vous avez acheté récemment diminuera à coup sûr votre concentration.

     


    « Je me réchauffe l'esprit... » Une activité physique se réalise mieux lorsque vous vous réchauffez avant de l'accomplir. C'est la même chose pour les tâches intellectuelles. Faites une transition entre votre dernière activité et votre travail. Par exemple, prenez quelques minutes pour relaxer et revenez sur votre objectif d'étude et sur vos motivations à le réaliser. Vous pouvez également réfléchir à ce que vous avez vu dans le cours jusqu'à maintenant ou faire un survol des lectures à faire. En résumé, préparez doucement votre esprit à ce que vous allez faire.

     


    Un travail divisé = un esprit structuré ! La division du travail en petits objectifs précis avant de débuter favorise la concentration. Élaborez un objectif précis et une approximation du temps requis. Plus vous avez de la difficulté à vous concentrer, plus vos objectifs devraient être précis mais surtout, petits. Par exemple, faire l'exercice numéro 5 dans le cours X.

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    « Si je bloque sur une notion » Lorsque vous avez de la difficulté à comprendre un problème ou une notion, il est bien de persévérer. Cependant, l'acharnement à résoudre une difficulté entraîne souvent une baisse de la motivation et une diminution de vos habiletés de résolution de problème. Persévérez, mais faites-vous aider ou prenez une pause si votre difficulté persiste.

     


    Récompensez-vous Même après avoir réalisé un objectif minime, offrez-vous une récompense sous forme de pause. Si vous avez des difficultés de concentration, il est préférable de faire plusieurs courtes pauses plutôt que d'en faire une très longue après l'atteinte d'un gros objectif.

     


    Quoi faire pendant vos pauses ? Il faut augmenter la probabilité de revenir au travail... et favoriser la concentration pour votre prochain objectif. Lors de votre pause, bougez un peu, respirez de l'air frais. Il faut oxygéner votre outil de travail, c'est-à-dire votre cerveau ! À la fin de votre pause, élaborez un nouvel objectif.

     


    « Des idées me trottent dans la tête, comment les chasser ? »    Dans le cas de pensées négatives, telles que des inquiétudes ou des problèmes divers qui nuisent à votre concentration, il s'agit d'être actif ou active face à ce qui vous préoccupe. Tenter de ne pas y penser fonctionne rarement avec les pensées négatives. Lorsque ce type de pensées (ex. : inquiétudes, préoccupations, souvenirs douloureux) vous viennent à l'esprit, arrêtez votre travail et écrivez ces pensées. Il sera alors moins difficile de prendre du recul et d'élaborer des solutions possibles face à ce qui vous préoccupe. Une fois la pensée écrite, tentez de trouver un début de solution au problème ou identifiez un moment où vous pourrez y revenir. Une fois cet exercice fait, retournez au travail (voir aussi le texte Stress, anxiété et perceptions : maîtriser les pensées toxiques !).Dans le cas de rêves éveillés, c'est-à-dire de pensées positives qui nuisent à la concentration, il sera également important de ne pas attendre qu'ils quittent votre esprit d'eux-mêmes. Voici une stratégie que vous pouvez essayer : lorsque vous vous apercevez que vous êtes « dans la lune », levez-vous et terminez votre rêve debout. Par la suite, retournez au travail. Si vous faites cet effort à presque toutes les fois que vous rêvassez, ce problème diminuera.

     


    Être en forme ! La concentration est facilement influencée par différentes variables, notamment la fatigue excessive, la maladie, la déprime, le manque de sommeil, l'alimentation, la consommation de psychotropes (ex. : le cannabis et l'alcool), etc. Si vous avez des difficultés de concentration importantes, analysez votre rythme de vie et évaluez si certains points seraient à ajuster. N'oubliez pas que votre concentration est votre principal outil de travail.

     


    Des stratégies d'étude qui stimulent la concentration
    Consultez la section sur la lecture active afin de développer des stratégies de lecture qui augmenteront la concentration.

     


    Concentration et motivation

     

     

     

    Le degré de concentration est également relié à votre degré de motivation par rapport à une tâche. Comme nous l'avons vu, il est important de revenir sur vos bonnes raisons d'étudier avant de commencer, surtout si vous sentez une démotivation pour la tâche que vous voulez débuter. Voir à ce sujet notre section sur la motivation scolaire.



    Rédigé par:


    Dominique Dubé, psychologue


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  • Le cdH, tout au long de la législature 2009-2014, a suscité et soutenu des dispositifs qui prennent en compte la spécificité des besoins de chaque élève, qui favorisent le soutien continu dans la classe et qui évitent le recours au redoublement ou à l’orientation par défaut : des formations « Personne relais-dyslexie » et « Travailler collégialement au bénéfice de l’élève en difficulté », diffusion des brochures de sensibilisation des acteurs scolaires (« Enseigner aux élèves avec troubles d’apprentissage », « Enseigner aux élèves à hauts potentiels », méthodologie « Pass Inclusion », …

    Le cdH propose de :

    • ajuster les normes de création des Centres PMS à la réalité de l’évolution démographique et à l’accomplissement des nouvelles missions de leurs agents ;
    • outiller les équipes éducatives ainsi que des futurs enseignants pour identifier dès la maternelle, le décrochage scolaire pour repérer les élèves à besoins spécifiques (dyslexie, TDA/H, à hauts potentiels, …) et pour leur offrir les aménagements pédagogiques nécessaires, dans une approche d’école inclusive ;
    • renforcer les équipes tri-disciplinaires des Centres PMS dans leur capacité à mobiliser les ressources nécessaires à l’établissement d’un diagnostic de qualité et à la mise en place de soutiens concertés et favoriser la diffusion du Pass Inclusion au sein des écoles ;
    • renforcer la collaboration entre la famille, l’équipe éducative et les spécialistes grâce au rôle d’interface des Centres PMS et outiller les acteurs (guide méthodologique et formation) pour favoriser la concertation collégiale au bénéfice de l’élève ;
    • favoriser l’implication du personnel paramédical (logopèdes, …) dans la concertation collégiale au bénéfice de l’élève ;
    • prévoir le remboursement par l’INAMI des séances de logopédies de 30 minutes mais aussi de 60 minutes (actuellement seules les séances de 30 minutes sont remboursées) pour les enfants de moins de 10 ans lorsque cela s’avère nécessaire pour le traitement de certains troubles de l’apprentissage et prévoir le remboursement par l’INAMI des séances de logopédie que doivent continuer à suivre les enfants dont les troubles de l’apprentissage se prolongent au-delà de deux ans.

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