• Aider les enseignants à tenir compte des besoins spécifiques de chaque élève

    Le cdH, tout au long de la législature 2009-2014, a suscité et soutenu des dispositifs qui prennent en compte la spécificité des besoins de chaque élève, qui favorisent le soutien continu dans la classe et qui évitent le recours au redoublement ou à l’orientation par défaut : des formations « Personne relais-dyslexie » et « Travailler collégialement au bénéfice de l’élève en difficulté », diffusion des brochures de sensibilisation des acteurs scolaires (« Enseigner aux élèves avec troubles d’apprentissage », « Enseigner aux élèves à hauts potentiels », méthodologie « Pass Inclusion », …

    Le cdH propose de :

    • ajuster les normes de création des Centres PMS à la réalité de l’évolution démographique et à l’accomplissement des nouvelles missions de leurs agents ;
    • outiller les équipes éducatives ainsi que des futurs enseignants pour identifier dès la maternelle, le décrochage scolaire pour repérer les élèves à besoins spécifiques (dyslexie, TDA/H, à hauts potentiels, …) et pour leur offrir les aménagements pédagogiques nécessaires, dans une approche d’école inclusive ;
    • renforcer les équipes tri-disciplinaires des Centres PMS dans leur capacité à mobiliser les ressources nécessaires à l’établissement d’un diagnostic de qualité et à la mise en place de soutiens concertés et favoriser la diffusion du Pass Inclusion au sein des écoles ;
    • renforcer la collaboration entre la famille, l’équipe éducative et les spécialistes grâce au rôle d’interface des Centres PMS et outiller les acteurs (guide méthodologique et formation) pour favoriser la concertation collégiale au bénéfice de l’élève ;
    • favoriser l’implication du personnel paramédical (logopèdes, …) dans la concertation collégiale au bénéfice de l’élève ;
    • prévoir le remboursement par l’INAMI des séances de logopédies de 30 minutes mais aussi de 60 minutes (actuellement seules les séances de 30 minutes sont remboursées) pour les enfants de moins de 10 ans lorsque cela s’avère nécessaire pour le traitement de certains troubles de l’apprentissage et prévoir le remboursement par l’INAMI des séances de logopédie que doivent continuer à suivre les enfants dont les troubles de l’apprentissage se prolongent au-delà de deux ans.

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