• EQUAZEN & TDAH

    equazen

    Un supplément naturel (EQUAZEN™)
    diminuerait les symptômes du TDAH chez les enfants.

    Publié le 06 Avril 2014 sur Pharmablogue (Presse Canadienne)

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    « Percée scientifique : Un supplément naturel (EQUAZEN™) diminue les symptômes du TDAH chez les enfants lorsqu’il est pris seul ou en combinaison avec le méthylphénidate.

    MONTRÉAL, le 4 avril 2014 /CNW Telbec/ - L’étude est considérée comme révolutionnaire par des experts du TDAH, car c’est la première fois qu’un supplément naturel est comparé à la médication traditionnelle pour le TDAH, et s’est avéré étonnamment efficace.

    Cette étude démontre que le supplément naturel EQUAZENMC pris seul réduit efficacement les symptômes du déficit d’attention avec hyperactivité (TDAH) principalement chez les enfants du sous-type inattentif. De plus, en combinaison avec le méthylphénidate (MPH)…  » (1)

    ARTICLE CORRESPONDANT

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    Un supplément naturel (EQUAZEN™)
    diminue les symptômes du TDAH chez les enfants

     

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    Site Equazen :

    « Plusieurs institutions indépendantes ont étudié les effets d’EQUAZEN sur les enfants atteints du TDAH et ont ensuite fait connaître leurs résultats. Certains des experts ayanT supervisé des études sur EQAZEN ont accepté de répondre à nos questions au cours d’une entrevue. Lisez ce que le psychiatre Dr. Madeleine Portwood, le neuro-pédiatre Dr. Eduardo Barragan, et la scientifique Dr. Nathalie Parletta ont conclu suite à leurs recherches sur EQUAZEN. »*

    *http://equazencanada.com/index.php/fr/experts?limitstart=0

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    La science derriere Equazen :

    « Notre corps a besoin d’acides gras oméga 3 et oméga 6 pour protéger nos cellules et les aider à fonctionner correctement. Le cerveau humain d’un adulte est composé d’environ 60% de matières grasses (poids sec). Notre corps peut produire certaines de ces graisses (acides gras). Cependant, l’organisme est incapable de synthétiser 35% de cette matière grasse du cerveau, notamment les acides gras oméga-3 et oméga-61. C’est pourquoi les acides gras essentiels oméga-3 et oméga-6 doivent être fournis par l’alimentation.

    La carence en acides gras peut contribuer à une foule de symptômes et de troubles, tels que des troubles cognitifs comme l’hyperactivité avec déficit de l’attention (TDAH) 2-5  et la dépression 6.

    EQUAZEN soutient efficacement le développement et la fonction du cerveau. Sa formulation spécifique des acides gras polyinsaturés AEP:ADH:AGL, avec un rapport 9:3:1, a prouvé efficace dans divers essaies cliniques 2,3,5. Dans ce rapport spécifique, ces trois acides gras essentiels travaillent plus efficacement pour apporter un soutien structurel et fonctionnel pour le système nerveux central.

    Les recherches montrent que l’ADH ou l’AGL seul, ou l’ADH en combinaison avec des niveaux faibles d’AEP n’a pas d’effets positifs sur les symptômes liés au TDA/TDAH 4,7,8. EQUAZEN est le seul produit de sa catégorie approuvé par Santé Canada (NPN 80010534) pour son efficacité à améliorer les niveaux de concentration chez les enfants/adolescents souffrant du TDA/TDAH. »

    **http://equazencanada.com/index.php/fr/science/the-science-behind-equazen

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    Les effets de la combinaison des Acide Gras , Oméga 3 et Oméga 6 en cas de TDAH

    Très très bon article !!

    « Depuis la publication de l’étude d’Oxford-Durham en 2005, l’attention pour le rôle des acides gras oméga-3 & oméga-6 (EPA, DHA et GLA) en cas de TDAH a augmenté de manière significative, tant au niveau des scientifiques qu’au niveau du public. On estime que plus de 5% de tous les enfants en âge scolaire sont atteint de l’une ou l’autre forme de TDAH et que 70% d’entre eux l’ont encore toujours à l’âge adulte [1].Le TDAH est souvent associé à la dyslexie, la dyspraxie et un comportement asocial ou opposant [1]. Une supplémentation nutritionnelle avec des acides gras peut améliorer les symptômes chez les enfants atteints de TDAH, en particulier l’attention et la concentration. Les preuves les plus convaincantes sont obtenues avec une combinaison d’acides gras oméga-3 avec l’acide gras oméga-6 GLA soit, l’acide gamma-linolénique, dans un rapport EPA : DHA : GLA constant de 9 : 3 : 1 [2]… »***

     

    ***https://tdahbe.files.wordpress.com/2014/05/les-effets-de-la-combinaison-des-acides-gras-omc3a9ga-3-etomc3a9ga-6-en-cas-de-tdah.pdf

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    Dre Annick VINCENT en parle aussi :

    « Des suppléments alimentaires d’acides gras de type omega 3-6 (ex: Equazen Eye QMD) ont démontré une efficacité supérieure au placebo dans quelques études. Ils peuvent être ajoutés comme complément au traitements du TDAH mais ne représentent pas un substitut à la médication. »(2)

    http://www.attentiondeficit-info.com/pdf/tdah-equilibre-vie.pdf

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    Témoignage d’une maman dans l’Ouest de la France

    (Maman d’un enfant de 7 ans TDAH Mixte sévère diagnostiqué à l’âge de 4 ans et sous traitement Méthylphénidate depuis 2ans et demi)

    Mon fils a fait le traitement de fond 6 gélules par jours pendant 12 semaines puis 2 gélules maintenant à prendre tous les matins.  Voila les changements depuis la prise d’Equazen :

    Concernant la perte d’appétit le midi (effet secondaire de la prise du methylphénidate) :

    Mon fils est sous traitement depuis presque 3 ans pour son tdah et le midi il ne mangeait que très peu et depuis la prise d’Equazen, il a commencé à avoir plus d’appétit le midi dans la 6ème semaine, mais il a vraiment retrouvé de l’appétit le midi au bout de 4 mois de traitement. Là, le midi, il a faim. Il m’a même étonnée à manger deux jours de suite deux steaks (de bonne taille ) plus, un peu de légumes. Et aujourd’hui il mange de bonnes assiettes, rien à voir avec avant. Et l’après midi c’est pareil, il vient parfois à 15h me demander si c’est le goûter parce qu’il a faim.

    Concernant sa concentration, son attention …

    Pour ce qui est de son attitude je trouve qu’il a plus de facilité à me regarder dans les yeux et que nous avons plus de facilité à communiquer. Il monte bien moins dans les tours surtout le soir où nous n’avons plus non plus l’effet rebond qu’il avait généralement vers 18h … et quand je me fâche , il n’est parfois pas d’accord mais je ne sens plus cette impulsivité , c’est bien plus modéré, alors on continue ….

    Pour ce qui est des apprentissages …

    Nous sommes début Aout 2014, et nous venons après un mois de vacances « décompression » de ressortir les jetons de pokers pour le pousser à bosser car c’était très très compliqué avant, même avec le traitement, parce qu’à la maison il n’y a pas le cadre qu’il y a à l’école alors c’était pas toujours facile! Là, il bosse pour gagner un jeton qui équivaut à 20 minutes d’écran pour aller jouer à son jeu sur pc. Je suis plus qu’agréablement surprise car il peut me faire deux, trois pages d’exercices (maths, écriture, exercices de coloriage pour travailler le graphisme …) entre chaque session de 20 minutes alors qu’avant, c’était la croix et la bannière même si il y avait une récompense, il se braquait très rapidement car il n’avait pas l’attention nécessaire et il se fatiguait vite. Et pour vous dire, son orthophoniste s’est même demandée si il n’avait pas changé de traitement parce que depuis fin mai, donc vers 5-6 semaines, il a commencé à être plus réceptif, plus attentif… alors deux semaines avant nous avons réglé un problème a l’école qui le perturbait aussi mais quand même, sa progression a été crescendo et il y a une semaine son orthophoniste me disait comment elle était stupéfaite du changement, que là maintenant il était plus facile de mettre a profit le temps entier de la séance, car avant c’était pas évident car elle avait du mal à bien capter son regard … et son orthophoniste le suit depuis 2 ans.

    Je trouve que ça joue sur lui , sur beaucoup de choses…

    Je pense que l’Oméga 3 et 6 qu’il prend doit lui permettre de retrouver une certaine perception des choses et du coup son comportement est plus facile à intercepter et lui même doit avoir plus de faciliter à s’auto-interpeler quand il va trop loin et qu’il ne fait pas ce que j’attends de lui. Je pense qu’il retrouve un certain équilibre et s’ouvre plus et de plus en plus… moi c’est ce que je ressens, après il grandit aussi mais quand même je vois en 4 mois pas mal de changement et mon fils est quand même tdah mixte sévère.

    Il est possible de commander Equazen dans pas mal de Pays mais malheureusement pas en France ce qui est fort regrettable, du coup je passe par un autre site. (http://www.amazon.co.uk/Equazen-Eye-Capsules-Family-Pack/dp/B0017TO09K)

    En espérant lire dans quelques mois d’autre témoignages comme le mien.

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    EQUAZEN EYE Q™ – DESCRIPTION

    EQUAZEN eye q™ représente une ligne de suppléments nutritifs avec les combinaisons spécifiques d’acides gras essentiels.

    Les produits EQUAZEN eye q™ sont soutenus par la forte recherche scientifique visée à avancer les compréhensions d’acides gras essentiels et leurs effets positifs sur le bien-être, pas moins dans le traitement de symptômes d’ADHD et ADHD.

    Les acides gras d’oméga 3 dans Equazen eye q™ proviennent de sources contrôlées de poissons gras provenant de l’océan Pacifique sud.

    Des tests indépendants garantit que Equazen eye q™ est conforme à Santé Canada et des règles de pureté de la CE.

    Ce produit est exempt de l’aspartame, la saccharine, sucre, gluten, cholestérol, de couleurs et de gras trans.

    Source entièrement naturelle.

    BIENFAIT
    - Améliore-niveaux de concentration chez les enfants et les adolescents atteints du TDAH.
    - Aide à soutenir la santé cognitive et / ou les fonctions cérébrales, ainsi que le développement du cerveau, des yeux et des nerfs chez les enfants et les adolescents.

    AVANTAGES
    Equazen eye q™
    est la seule ligne de produits naturels pour le TDAH qui ont été largement testés en majeur et indépendant, un placebo en double aveugle contrôlée études internationales. Les résultats impressionnants, de publier dans des revues prestigieuses comme l’attention et le Journal of Pediatrics, ont montré ce qui suit:

    - Des améliorations significatives des symptômes du TDAH.
    - Amélioration de la capacité d’apprentissage.
    - Une amélioration significative en lecture, en orthographe et d’écriture.
    - Les tendances positives pour les scores inférieurs TDAH et des effets importants dans le sous-type inattentif.
    - Importantes améliorations des niveaux de concentration.

    INDICATIONS
    Les problèmes les plus fréquemment diagnostiqués mentale chez les enfants est le déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH). Les insuffisances peuvent contribuer à une foule de symptômes et de troubles, tels que des troubles cognitifs comme l’attention avec hyperactivité (TDAH) et la dépression.

    Les trois sous-types de TDAH principaux sont les suivants:
    1 – hyperactivité / impulsivité
    2 – inattentif
    3 – Combiné de type

    Ingrédients bénéfiques
    L’huile de poisson (sardine huile pour le corps), EPH (acide elcosapentaenoic), le DHA (acide docosathexaenoic), Oenothera bienisL (onagre huile – graines) fournissant: GLA (acide gamma-linolénique)

    INGRÉDIENTS
    Ingrédients médicinaux : Chaque gélule contiennent :
    Huile de poisson (huile de corps de sardine) 400 mg
    EPH-(acide elcosapentaénoic) 93 mg
    DHA (acide docosahexaénoïque) 29 mg
    Oenothera biennis L (soir
    L’huile d’onagre – graine) 100 mg
    GLA (acide gamma linolénique) 10 mg

    Ingrédients non-médicinaux : Glycérine, gélatine, vitamine E, eau purifiée, saveur fraise, xylitol, cellulose en poudre.

    POSOLOGIE
    - Les enfants âgés de 3 + et adolescents atteints de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH):  Prenez-6 gélules par jour pendant les 3 premiers mois moins que la dose est abaissée par votre professionnel de la santé, par la suite plus bas à 2 gélules par jour.

    - Pour les performances cognitives : Prendre 2 gélules par jour.

    CONTRE-INDICATIONS
    Les ingrédients sont très sûrs, et la dose recommandée, nous ne connaissons pas d’interférence avec la médecine, ou des effets secondaires. Mais en cas de doute, s’il vous plaît consulter votre médecin. Ne prenez pas si vous êtes enceinte ou qui allaite.

    Avis important :
    Il est recommandé que si vous êtes enceinte ou qui allaite et pour les jeunes enfants de consulter votre médecin avant de prendre des suppléments. Cette recommandation s’applique également aux personnes qui prennent des médicaments ou qui souffrent d’un problème de santé. (3)

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    (1) http://pharmablogue.com/un-supplement-naturel-equazen-diminue-les-symptomes-du-tdah-chez-les-enfants/

    (2) http://www.attentiondeficit-info.com/pdf/tdah-equilibre-vie.pdf

    (3) http://www.multisupplements.com/1-48-3466-produit-equazen-eye-q-croquables.html?choixDevise=1


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  • Vos patients ont peut-être lu cette semaine dans la presse un article consacré à l’anesthésie : ‘ La ritaline utile pour le réveil après une anesthésie[1]. Le journaliste rapporte et commente un article à paraître dans le numéro de mai de la revue Anesthesiology[2]. Il s’agit d’une étude expérimentale réalisée par l’équipe du Massachusetts General Hospital à Boston visant à évaluer les capacités du methylphenidate à réveiller activement des rats anesthésiés par propofol. Un travail publié en 2011 par la même équipe avait montré que le methylphenidate accélérait (x3) le réveil après anesthésie des rats par isoflurane[3]. Ici, deux protocoles expérimentaux ont été conduits avec l’administration d’une dose (5mg/kg IV) de methylphenidate : soit 45 s après un bolus unique de propofol, soit au cours d’une administration à objectif de concentration de propofol, 20 min après perfusion stable à la concentration cible (Cc) efficace, obtenue par titration, pour empêcher tout mouvement.

    Après un bolus de propofol, le methylphenidate raccourcit significativement le délai médian de réveil : de 735 s (95% CI: 598–897 s) à 448 s (95% CI: 371–495 s) (P=0.0051). Tout en poursuivant la perfusion de propofol à la Cc efficace (médiane Cc 4 µg/ml), l’injection de methylphenidate provoque un réveil rapide chez tous les rats, avec une capacité à se redresser en 82 s (95% CI: 30–166). Ce réveil provoqué s’accompagne à l’électroencéphalogramme d’un déplacement des ondes lentes delta vers des ondes rapides thêta et bêta.

    L’article de presse soulignait l’intérêt éventuel chez l’homme de cette molécule en particulier dans les cas de sédation prolongée ou trop profonde par propofol. Ce point doit être relativisé. Le methylphenidate est un médicament commercialisé en France depuis 1995 et 4 spécialités sont autorisées (Ritaline®, Concerta®, Quasym®, Méthylphénidate Rubio®) ; son AMM est très stricte et concerne uniquement le trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH) chez l'enfant de plus de 6 ans, lorsque des mesures correctives seules s'avèrent insuffisantes. Il s’agit d’un psychostimulant, sympathomimétique d'action centrale, proche de l’amphétamine, avec de nombreux effets indésirables, cardiaques, neurologiques, psychiatriques en particulier, et dont l’utilisation chez l’enfant reste controversée.

    En revanche, cette étude expérimentale permet de comprendre un peu mieux les mécanismes mis en jeu au cours de l’anesthésie et lors du réveil postanesthésique. On a longtemps imaginé que le réveil après une anesthésie était un phénomène passif lié à la diminution des concentrations cérébrales de l’agent anesthésique à l’arrêt de son administration. Comme le souligne l’éditorial[4] qui accompagne la publication, cette étude confirme que le réveil n’est pas simplement le phénomène inverse de l’induction anesthésique mais qu’il met en jeu des voies activatrices capables d’antagoniser les effets des agents anesthésiques. Les effets activateurs du methylphenidate sont expliqués par une augmentation des concentrations corticales de dopamine et probablement une mise en jeu de voies noradrénergiques. L’induction d’un réveil sous anesthésie a déjà été rapportée avec d’autres agents comme la physostigmine, l’histamine, les agonistes nicotiniques ou la noradrénaline. Tous ces agents pourraient agir en renforçant l’action des neuromodulateurs physiologiques impliqués dans la phase de réveil au cours du sommeil naturel.

    En schématisant, l’état de conscience nécessite à la fois des influx activateurs en provenance des structures sous-corticales et du tronc cérébral mais aussi une réponse corticale normale. Le methylphenidate agit en renforçant les courants neuronaux activateurs et peut contrebalancer les effets hypnotiques du propofol. Cet effet n’est cependant observé, comme dans le cas d’une stimulation douloureuse, que pour des doses modérés d’hypnotique. A dose plus élevée, les effets inhibiteurs du propofol sont trop puissants et ne peuvent être dépassés.

    Si on est encore loin d’une éventuelle application clinique pour le methylphenidate en anesthésie ou en réanimation, la compréhension des mécanismes intimes de l’anesthésie continue de progresser grâce à de tels travaux.

    F. Sztark
    CHU de Bordeaux, Université Bordeaux Segalen, INSERM U1034
    francois.sztark@chu-bordeaux.fr


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  • Causes du TDAH et des facteurs de risqu

     

    Par Dr Ananya Mandal, MD

    TDAH (abréviation de Attention Deficit Hyperactivity Disorder) englobe un large éventail de troubles du comportement caractérisés par un manque d'attention et de concentration, l'hyperactivité et incapacité de contrôler l'impulsivité.

    Causes du TDAH

    Un parent d'un enfant récemment diagnostiqué peut blâmer eux-mêmes ou leurs parents, mais le plus souvent la cause de l'État n'est pas liée à des parents à tous les.

    Rôle parental et l'environnement, cependant, peuvent, dans une certaine mesure, être responsables de l'aggravation des problèmes de comportement de l'enfant.

    Facteurs de risque de TDAH

    Il n'y a aucune causes précises qui ont été trouvés pour déclencher le TDAH chez l'enfant. Toutefois, les facteurs suivants peuvent contribuer à un risque élevé de l'État:-

    1. Anatomie altérée ou la fonction du cerveau – les scanographies du cerveau ont montré que certaines zones du cerveau, particulièrement ceux associés à l'activité et l'attention portées sont différentes chez les enfants et les adultes atteints de TDAH. (1) Certaines études révèlent que le lobe frontal du cerveau (qui se trouve à l'avant-garde du cerveau) est différent chez les personnes atteintes de TDAH. Cette région est liée à la prise de décision. Il y a peut-être aussi le dérangement des neurotransmetteurs comme la dopamine et de noradrénaline dans le cerveau. Ces neurotransmetteurs sont des messagers chimiques du cerveau. (2)

    2. Génétique – parfois TDAH peut être héritée. Il y a des études qui ont trouvé plusieurs gènes liés à la causalité du TDAH. (1)

    3. Étant mâle – garçons et les hommes sont plus à risque de souffrir de TDAH que les filles et les femmes. Cela pourrait être dû à des facteurs génétiques ou des facteurs hormonaux. Des études suggèrent que, étant donné que le TDAH est souvent associé aux violents et des symptômes de l'hyperactivité, beaucoup de jeunes filles qui ont peut-être manqué tout diagnostic de TDAH de type inattentif prédominant. Ces jeunes filles grandissent souvent à manifester la condition comme adolescents ou jeunes adultes. (2)

    4. Maternelle de toxicomanie, d'alcool et le tabagisme – certaines études ont montré que les femmes enceintes qui fument, prennent de l'alcool ou utilisent des drogues récréatives sont un risque plus élevé de donner naissance à des enfants de développer le TDAH. La pathologie exacte derrière cette association n'est pas bien connue. Cependant, il est supposé que ce type d' abus, in utero, ou au sein de l'utérus, réduit l'activité neuronale et modifie les neurotransmetteurs chimiques de nerf messenger. Les femmes enceintes qui sont exposées à des toxines environnementales sont aussi à risque de donner naissance à des bébés qui peuvent développer des TDAH. (1)

    5. Exposition à des toxines, tout-petits et enfants d'âge préscolaire qui sont exposés à des toxines et de poisons environnementaux sont aussi à risque plus élevé de problèmes de comportement. Parmi ces est l'exposition au plomb de la peinture et des tuyaux dans les vieux bâtiments qui a été liée à courtes travées de l'attention et de comportement violent chez certains enfants. (1)

    6. Traumatic brain injury : lésion cérébrale a également été lié aux TDAH dans certaines études. Cependant, le nombre d'enfants qui ont subi des blessures au cerveau est trop petit pour expliquer l'augmentation de la prévalence du TDAH. (3)

    7. Additifs – certains additifs alimentaires tels que les conservateurs et les colorants artificiels ont été liés à l'aggravation et l'augmentation du risque de TDAH. Recherche détaillée dans ce domaine est justifiée puisqu'il n'y a aucune preuve définitive. (1)

    8. Sucre – études et croyance affirme excédent de sucre dans le régime alimentaire de l'enfant entraîne souvent des problèmes de comportement. Cependant, des études détaillées ont montré qu'il n'y a aucune association entre l'excédent de sucre dans le régime alimentaire et le risque élevé de TDAH ou même une aggravation des symptômes chez les enfants diagnostiqués TDAH. (3)

    9. Intolérance alimentaire – Certain l'intolérance alimentaire comme celui de lait, de blé et de noix est également lié à risque élevé de TDAH. (2)

    10. Exposition à la télévision – il y a eu des préoccupations qu'une exposition excessive à la télévision à un jeune âge peut conduire à un risque accru de TDAH. Bien qu'il n'y a aucune étude qui prouve réellement cette association ; Il y a des preuves que l'exposition à la télévision excessive peut conduire à l'inattention et le risque de TDAH plus tard dans la vie. (2)

    11. Autres facteurs de risque – notamment étant né prématurément avant 37 semaines de gestation et est né avec un faible poids de naissance. In utero des dommages de cerveau ou dans les premières années de la vie ou avoir audience avec facultés affaiblies est également lié au TDAH (2)

     

    Édité par avril Cashin-Garbutt, BA Hons (Cantab)

     

    Autres lectures

    Ce qu'est le TDAH ?
    Symptômes de TDAH
    Diagnostic de TDAH
    Traitement du TDAH

     

    Last Updated: May 28, 2012


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    Jean-Yves Nau

    Les origines génétiques du syndrome d’hyperactivité

    Rev Med Suisse 2010;6:1932-1933


     

    C’est a priori une avancée importante dans la compréhension du syndrome d’hyperactivité que viennent de publier, sur le site du Lancet,[1] un groupe de chercheurs britanniques. Ils assurent avoir pu, pour la première fois, identifier les bases génétiques de ce syndrome qui associe des troubles de l’attention et de la concentration à un comportement hyperactif. On parle ici dans un relatif désordre de syndrome hyperkinétique, de dysfonction cérébrale minime ou encore, plus fréquemment de troubles déficitaires de l’attention avec hyperactivité (TDAH). Ces résultats ne manqueront pas de relancer la controverse récurrente quant à l’origine exacte de cette pathologie hautement handicapante. Pour les auteurs de ce travail, les choses sont claires : ce syndrome a une origine génétique expliquant des anomalies du développement cérébral ; et il ne doit en aucun cas être compris comme la résultante d’une «pure construction sociale». Ce travail a été coordonné et dirigé par le Dr Nigel M. Williams et le Pr Anita Thapar (Centre de neuropsychiatrie génétique et génomique, Université médicale de Cardiff).

    On estime que les TDAH concernent environ 2% des enfants d’âge scolaire et que le plus souvent les troubles persistent à l’âge adulte. Il s’agit souvent d’enfants présentant assez tôt des difficultés comportementales qui se structurent progressivement pour évoluer vers un tableau réunissant un manque d’attention soutenue, une incapacité à se concentrer, une grande impulsivité, des difficultés marquées à obéir, une grande instabilité émotionnelle, ainsi que certains discrets signes neurologiques mineurs. On comprend aisément que de tels symptômes soulèvent, en l’absence d’une prise en charge spécialisée (comportementale et/ou médicamenteuse), d’importantes difficultés scolaires. Certains de ces enfants présentent d’autre part un potentiel intellectuel et créatif supérieur à la moyenne.

    «Les enfants atteints de TDAH présentent des problèmes importants à domicile et à l’école, résume The Lancet. Pendant de nombreuses années, la maladie a été attribuée à une mauvaise éducation ou une alimentation riche en sucre, et ce en dépit d’un certain nombre de facteurs suggérant l’existence de facteurs génétiques. Par exemple, l’enfant d’un parent souffrant de TDAH est plus susceptible qu’un autre d’être atteint. Et chez des jumeaux homozygotes, si l’un présente ce syndrome l’autre jumeau a 75% de risque de le présenter également.»

    L’étude publiée sur le site du Lancet a porté sur la comparaison des analyses génétiques de l’ADN de 366 enfants blancs d’origine britannique (âgés de 5 à 17 ans) atteints de TDAH (en excluant toute forme d’autisme et de schizophrénie) et celles de 1047 membres d’un groupe témoin, hommes et femmes nés en Grande-Bretagne durant la même semaine de l’année 1958 et réunis depuis au sein d’une cohorte («The 1958 British Birth Cohort»). Les chercheurs expliquent en substance avoir au total constaté que les enfants atteints de TDAH présentaient dans une proportion nettement plus importante que les autres une caractéristique particulière : la présence de délétions et de duplications de séquences d’ADN (copy number variants ou CNV) déjà observées dans certaines pathologies du développement neurologique présentant des symptômes voisins des TDAH.

    Résultats : les CNV ont été retrouvés chez 57 des 366 enfants et 78 membres du groupe contrôle. Les taux élevés de CNV concernaient d’autre part les enfants présentant ou pas une déficience intellectuelle. Un excès de duplication a aussi été observé dans une région particulière du chromosome numéro 16 (16p13.11) déjà connue pour être impliquée dans la schizophrénie ; et les chercheurs annoncent en outre un certain chevauchement statistiquement significatif avec les variations génétiques observées dans l’autisme.

    Ces résultats ont ensuite été confirmés sur un groupe de 825 enfants islandais souffrant de TDAH et un groupe contrôle de 825 personnes également islandaises.

    Pour The Lancet, cette nouvelle étude «fournit la première preuve directe que les TDAH sont un trouble neurologique» et laisse entendre qu’il peut y avoir une base biologique génétique commune entre les TDAH, la schizophrénie et l’autisme. «Nous espérons que ces résultats aideront à surmonter la stigmatisation associée au TDAH, explique le Pr Anita Thapar. Maintenant, nous pouvons dire avec confiance que le TDAH est une maladie génétique et que les cerveaux des enfants atteints de cette maladie se développent différemment de ceux des autres enfants.» Pour le Dr Kate Langley, les TDAH ne sont toutefois sans doute pas la résultante des seules modifications observées via les CNV ; d’autres modifications sont sans doute impliquées de même que des interactions entre ces modifications et des facteurs environnementaux qui restent à identifier. Pour le Dr Langley, ces résultats ne devraient pas d’autre part se traduire par une amélioration du diagnostic et du dépistage des enfants concernés, les évaluations cliniques actuelles étant suffisamment rigoureuses et codifiées.

    En revanche, les auteurs estiment que leurs résultats devraient permettre de lever les malentendus au sujet des TDAH et faire en sorte que les personnes touchées et leurs familles soient mieux comprises dès lors que ces troubles seront clairement perçus comme une anomalie du développement neurologique (à la manière de l’autisme) plutôt que comme un banal problème de comportement, voire d’éducation défaillante. «La génétique nous donne une fenêtre sur la biologie du cerveau. Dans l’avenir, ces résultats permettront d’élucider les bases biologiques des TDAH et ainsi aider à développer des traitements nouveaux et plus efficaces» espère le Pr Thapar.

    Pour sa part, dans un commentaire associé à la publication du Lancet, le Dr Peter H. Burbach (Département des neurosciences et de pharmacologie, Institut Rudolf Magnus des neurosciences, Centre médical universitaire d’Utrecht) va plus loin. «Les bénéfices, au-delà de l’étude d’aujourd’hui, pourraient être un premier aperçu de la pathogenèse et de la neurobiologie du développement du cerveau, explique-t-il. Ces connaissances pourront finalement accéder à la clinique et modifier la façon dont les gens pensent et traitent les troubles neurologiques du développement, ce en tenant compte du génotype spécifique du patient.»


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  • Les Addictions

     

    HYPERACTIVITÉ (TDAH): La Ritaline fait-elle de futurs toxicomanes?

     

    Posté le Jeudi 6 Juin 2013 par copyright@2013 Alliedhealth

     

    JAMA Psychiatry

    Alors que de plus en plus d’enfants reçoivent de la Ritaline pour traiter un trouble de déficit de l'attention / hyperactivité (TDAH), ces chercheurs de l’Université de Californie - Los Angeles (UCLA) se sont demandé si ces enfants seraient plus susceptibles que les autres enfants, de développer des problèmes de toxicomanie, une fois adolescents. Ces médicaments stimulants, utilisés pour traiter le TDAH, à l’effet similaire à celui des amphétamines, ne pourraient-il pas favoriser la toxicomanie, plus tard dans la vie ? Réponse dans l’édition du 29 mai de la revue JAMA Psychiatry.

     

    Si les Etats-Unis nous ont précédés dans l’augmentation des prescriptions de ces médicaments stimulants et ont donc une antériorité d données, une récente étude en France révélait que les ventes de Ritaline avaient augmenté de 70% en 5 ans. La question est donc aussi d’actualité en France. Le TDAH aussi, puisqu’il touche environ 5 à 10% des enfants dans de nombreux pays industrialisés et en particulier des garçons chez qui il est de 3 à 3,5 fois plus fréquent. Les symptômes du TDAH incluent la distraction, l’agitation ou l’hyperactivité, l’absence de concentration et…l’ennui et ce comportement de l'enfant devient la cause de problèmes dans sa vie sociale, familiale et scolaire. Les auteurs précisent qu’un grand nombre d’enfants atteints ne sont pas diagnostiqués et traités.

     

    Aucune association entre Ritaline et toxicomanie plus tard dans la vie : Ces psychologues de l’UCLA ont consolidé dans leur méta-analyse les données de 15 études de long terme dont 3 études récentes encore en attente de publication. Leur analyse porte ainsi sur 2.500 enfants atteints de TDAH et suivis de l’âge de 8 ans jusqu’à l'âge de 20 ans. Leur analyse constate que les enfants atteints de TDAH qui prennent des médicaments comme la Ritaline ou l'Adderall n’ont pas plus de risque de consommer de l'alcool en excès, du cannabis, de la cocaïne ou même de fumer plus tard dans la vie.  « Ce n’est ni plus ni moins probable »,  résume Kathryn Humphreys, chercheur au Département de psychologie, « Nous n'avons trouvé aucune association entre l'utilisation de médicaments tels que la Ritaline et une incidence supérieure des abus d'alcool, de tabac, de cannabis ou autres drogues ».

     

    Le risque supposé de toxicomanie ne devrait pas être la préoccupation principale des parents ! Le Pr Steve S. Lee, professeur agrégé de psychologie à l’UCLA et auteur principal de l'étude explique que les parents ne doivent pas être plus préoccupés par l'utilisation de médicaments stimulants pour traiter leurs enfants et devraient avoir la même conversation avec le médecin que pour tout autre médicament. « Comme pour tout médicament, il y a des effets secondaires possibles, et le dosage en particulier doit être adapté en fonction du patient ». Ainsi, la Ritaline peut entraîner une perte d’appétit, donc une perte d poids et un sommeil perturbé. Sur le risque de toxicomanie, plus tard dans la vie, les parents peuvent être rassurés, en moyenne, leur enfant n’est ni plus ni moins à risque de dépendance à une substance. De plus, la crainte d’une toxicomanie plus tard dans la vie ne devrait pas être la première préoccupation des parents quand ils reçoivent un traitement pour leur enfant atteint de TDAH.

     

    Le TDAH associé en revanche à un risque accru de toxicomanie : Cette étude vient préciser les résultats d’une précédente étude de 2011 de la même équipe, qui suggérait alors un risque multiplié par 2 voire 3 chez les enfants atteints de TDAH de développer de graves problèmes de toxicomanie à l'adolescence et l'âge adulte, dont le tabagisme, l’excès d’alcool, l’usage de cannabis, de cocaïne et autres substances. Cette nouvelle étude ne contredit pas ces précédentes conclusions mais constate l’absence de responsabilité de ces médicaments stimulants sur ce risque accru de toxicomanie. Selon les auteurs, les 2 tiers des enfants atteints de TDAH vont présenter des difficultés scolaires, des troubles de la communication voire des épisodes d’anxiété et de dépression à l'adolescence. Un tiers de manière sévère, un tiers de manière modérée. Source: JAMA Psychiatry May 29, 2013


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