• Lacet génial

     

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     Lacet génial Pour les DYS

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  • Ensemble, Sauvons l’avenir d’Allan

    Article Closer.fr ‪#‎erratum‬ - Malheureusement une coquille s'est glissée dans l'article.. Il faut bien évidemment comprendre "SEULEMENT 4000 enfants scolarisés" environ et non l'inverse... ‪#‎autisme‬
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    L'ARTICLE ! merci Rizlaine

    Le centre de loisirs de Longwy a récemment refusé d’inscrire Théo, 8 ans, autiste. Le manque de moyens, réel, est invoqué. Mais peu d’alternatives sont proposées aux parents qui désespèrent et se sentent isolés dans leur combat.

    L’histoire est personnelle mais concerne, hélas, de nombreuses familles. Il y a un peu plus d’une semaine, Isabelle Gasparini, maman de Théo, 8 ans et autiste, souhaite inscrire son fils au centre de loisirs de Longwy, à la Plaine-des-Jeux.

    « Il est scolarisé à Porte-de-Bourgogne habituellement, mais se retrouve dans une situation de convalescence, après l’opération d’une tumeur l’année dernière. Je me disais que ce serait une bonne chose pour lui de se resociabiliser un peu » , confie-t-elle.

    Mais trois jours après, un coup de fil du responsable du service jeunesse et directeur du centre, Vincent Bolognini, fait office de douche froide. « Il m’a dit qu’il ne pouvait pas accepter Théo. Que s’il me disait oui, il serait obligé d’accueillir tous les enfants porteurs d’un handicap du bassin et que c’était impossible. » Isabelle Gasparini est surprise, surtout que Théo a déjà passé plusieurs étés au centre.

    Pas de structure adaptée dans le bassin

    De son côté, le directeur s’explique : « Il y a environ un an et demi, j’ai eu une entrevue avec la maman de Théo pour lui dire qu’avec l’âge, il serait de plus en plus difficile pour nous de prendre en charge son fils. Il ne s’agit pas d’une question de volonté, mais de moyens. Nous ne possédons ni la structure, ni le personnel qualifié pour accueillir ce type de public. » Désolé de la situation, ce dernier a conseillé à Isabelle de « s’orienter vers d’autres établissements, plus adaptés ». Sauf que sur le bassin de Longwy, il n’en existe pas.

    « Tout le monde se renvoie la balle »

    Édouard Jacque, maire de la Ville, est conscient du problème : « C’est un sujet qui nous préoccupe tous. Je suis évidemment favorable à l’intégration des jeunes autistes en milieu ouvert, mais il faut avoir des moyens pour cela. Or ils manquaient sous Sarkozy, ils manquent toujours sous Hollande. Nous travaillons également sur l’idée d’un Sessad (Service d’éducation spéciale et de soins à domicile), mais encore une fois, je ne peux pas porter tout, tout seul » , déplore-t-il. Avant d’ajouter : « Le centre de loisirs accueille tout de même trois à quatre enfants handicapés à chaque session. Après, c’est aux parents d’effectuer les démarches afin d’obtenir des moyens aidés, pour que l’enfant soit épaulé par un accompagnateur extérieur. »

    Ces démarches, Isabelle Gasparini les connaît : « Il n’y a que l’Udaf (Union départementale d’aide aux familles) qui m’a un jour répondu favorablement. Exceptionnellement, une travailleuse familiale a accompagné Théo pendant deux mois au centre de loisirs. Ailleurs, je n’ai trouvé que des portes fermées », se désespère-t-elle. Et lorsqu’on lui rapporte les recommandations de Vincent Bolognini et d’Édouard Jacque, elle réagit : « Ils nous demandent de faire des démarches auprès d’organismes compétents. Et les organismes censés être compétents nous répondent que c’est au centre de loisirs de s’adapter et de se donner les moyens d’accueillir le public le plus large. Au final, tout le monde se renvoie la balle et on se retrouve seule face à ses difficultés. Il faut lutter, tout le temps, toujours. »

    La situation paraît terrible et inextricable à l’heure actuelle : le constat est le même pour tous les acteurs, mais rien ne bouge ou pas grand-chose. Et pas sûr que la journée de l’autisme, qui s’est déroulée récemment, ne bouleverse le rythme d’un changement pourtant indispensable. En attendant, au milieu des atermoiements des pouvoirs publics, les enfants continuent de souffrir de leur isolement. En silence.
     
    L'ARTICLE ! merci Rizlaine  (Isabelle Téo)

     


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