• Les enfants précoces n'aiment pas l'école

     

    Publié le 01/09/2014 à 03:49, Mis à jour le 01/09/2014 à 07:55

     

    Limoux (11) - Congrès sur les surdoués en novembre

     

    Du 15/11/2014 au 16/11/2014

     

    Les surdoués ont besoin souvent d'être suivis par un psychologue/photo DDM, illustration. Les surdoués ont besoin souvent d'être suivis par un psychologue/photo DDM, illustration.

    Limoux accueillera un congrès consacré aux enfants intellectuellement précoces les 15 et 16 novembre prochains et à leurs difficultés d'insertion scolaire.

    Les personnels à divers niveaux qui tiennent les leviers de décision d'un pays et contribuent à en donner la version la plus gratifiante, en principe, ont-ils été des enfants intellectuellement précoces à haut potentiel? Des «zèbres» comme on les appelle en référence à cet animal exotique, affublé de la tenue du forçat ou du pyjama de collectivité. Leur comportement a beau les signaler à l'attention de la multitude- on les retrouve en tête ou en queue de classe- la vie ne les exonère en rien de l'écueil de l'échec, même si le monde semble promis à ceux qui offrent le visage de la positivité. Mais de la même manière qu'un surdoué peut être hyper actif ou apathique, vif de compréhension ou très lent, attentif ou distrait, les destins professionnels ne sont pas forcément liés à cette différence qui sera regardée de près les 15 et 16 novembre prochains à Limoux, dans le cadre d'un congrès. Et cette différence est souvent mal vécue. L'initiative revient à l'association «Jacques a dit» basée à Pieusse, dont le but est d'accompagner la scolarité des enfants en général et les surdoués. Ce congrès à dimension nationale sera émaillé de conférences animées par des spécialistes de l'éducation et de l'enfance. Des ateliers pratiques réuniront intervenants et parents.

    Les conséquences du décalage avec la norme : l'ennui, la démotivation, les difficultés à s'insérer dans un apprentissage de groupe, sont des signes susceptibles d'être décelés, et souvent sources de souffrance. On estime qu'ils s'en trouvent 3 par classe environ, et que 40% seulement d'entre eux ont leur bac.C'est dire si la marge de progression dans le repérage des enfants concernés comme dans la manière d'appréhender le problème demeure importante.Les organisateurs ont mis les petits plats dans les grands pour accueillir les congressistes, toutes les personnes intéressées par le sujet, que ce soit au niveau de l'hébergement que de l'accueil ou de la prise en charge des enfants accompagnant leurs parents.»Une Ferrari n'est pas toujours facile à conduire «dit un texte de présentation en guise de métaphore invitant les adultes à venir se tester. Et sans limite d'âge pour les vieux modèles...

     


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  • L’hyperactivité est un mot qui vient automatiquement à la bouche des professionnels de l’éducation lorsqu’un enfant est un peu plus vivant que d’habitude. Il en va un peu comme la dyslexie.

     

    Là encore, il faudrait distinguer les pathologies et… l’énergie tout ce qu’il y a de plus naturelle. Nous verrons aussi que la piste de l’alimentation est à considérer.

     

    L’énergie d’un enfant est belle ! On doit la désirer, vouloir qu’il soit vivant, joyeux, énergique. C’est le propre d’un enfant de s’exprimer par la parole et le geste, et il sera bien temps plus tard de canaliser, la société y conduira forcément. Mais apprenons à souhaiter plus de vie ! Voulons-nous des êtres morts, pâles, décharnés, amorphes, affligés, langoureux, mous, lâches, domestiqués, sans réaction ? Bien sûr que non. Il y a une grande beauté de l’énergie d’un enfant, d’une femme, d’un homme qui vit pleinement, que ce soit son art ou ses jeux, sa chorégraphie personnelle.

     

    Disons-le, un enfant qui est énervé, qui court partout, qui parle fort, mais qui s’endort très naturellement le soir, n’est pas un hyperactif, n’en déplaise au corps médical.

     

    L’enfant ne souffre pas d’hyperactivité en classe ou à la maison

     

    C’est un enfant énergique, en fait. On trouve des médecins pour dire qu’il y aurait 3 à 5% qui souffriraient de « ce problème », en réalité relevant du TDAH (Trouble du déficit de l’attention et de l’hyperactivité)… Notons bien ce TDAH, on va le retrouver partout.

     

    3 à 5%, c’est grave. Une cause nationale peut-être. Qui mériterait des subventions… Les médecins sont affirmatifs et y vont à grands coups de fourche, jugez plutôt : http://www.youtube.com/watch?v=DrztV3rIzKU

     

    Les médecins ont des certitudes.

     

    Ce serait une « maladie ». Les « victimes » sont elles-mêmes dans l’acceptation.

     

    Le traitement ? La Ritaline. Nous y voilà. Un médicament… qui entraîne des troubles du sommeil.

     

    hyperactivité de l'enfant Falsification http://l-ecole-a-la-maison.com/

     

    Commençons par un tir de contre-batterie immédiat: quand un comportement est traité par un médicament et qu’on parle de maladie, il y a falsification du diagnostic. Un comportement n’est jamais soigné par un médicament. Il a toujours son origine dans le cerveau. Or, la Ritaline ni aucun médicament actuellement prescrit ne vise d’action directe sur le cerveau et a fortiori ne peut avoir d’effet bénéfique sur le cerveau. Il faut d’ailleurs PROSCRIRE toute médicamentation visant le cerveau (sauf spécification d’un médecin de très haut vol, après examen par scanner).

     

    Ce genre de saletés chimiques est à refuser radicalement. Ce type de médicament cause de grands dégâts dans le corps et le cerveau.

     

    Contre l’hyperactivité en question, on donne des calmants…

     

    Le comportement ne se traite pas par le médicament. Il a toujours une explication en amont, par l’environnement de l’enfant (sauf, comme toujours rappelez-vous, en cas de lésion ou de pathologie).

     

    Cet environnement, c’est aussi sa famille, ses proches et son écologie, c’est-à-dire alimentation, sommeil etc. dont nous parlons abondamment dans notre accompagnement.

     

    L’hyperactivité de l’enfant, disons l’énervement, sa turbulence ou son comportement odieux proviennent bien sûr très souvent et même majoritairement des mauvaises conditions de vie au sein de sa famille et de mauvais traitements, si fréquents, sont facilement décelables par les enseignants… sans qu’ils puissent pratiquement rien y faire d’ailleurs. Ce sont les autres enfants qui en payent les conséquences. Mais quant à lui, il n’a aucune issue: tant que son environnement est malsain, il est condamné, et plus cela dure, moins il aura de chance de s’en sortir aisément.

     

    La réaction de l’enfant s’explique naturellement, par ce qu’il reçoit ou subit. Plus sa réaction est énergique, plus la pression est forte. Adultes: interrogez-vous, car c’est à votre niveau que se situe la difficulté, non à celui de l’enfant.

     

    Autrement dit, si votre enfant n’a pas eu de lésion ou de pathologie, ce que seul un examen approfondi à l’hôpital et par des très grands spécialistes, avec des appareils de détection, peut révéler, on ne peut en aucun cas affirmer péremptoirement qu’il a un trouble.

     

    Mais alors, qu’est-ce que cette histoire ?

     

    Une opération lucrative

     

    hyperactivité de l'enfant Industrie pharmaceutique par http://l-ecole-a-la-maison.com/C’est d’abord une opération lucrative. Le « TDAH » rapporte gros. C’est avant tout un paravent pour activités pétro-chimiques et pharmaceutiques, monde dans lequel on ne fait pas 40 ou 100 fois la culbute, mais où on la fait 700 fois, 2.000 fois, et jusqu’à 4.000 fois ! Le médicament est un business énorme et totalement amoral. Et croyez bien que nous savons ce que nous disons, pour avoir des parents très insérés dans les labos. D’ailleurs, nous sommes les descendants de fondateurs d’un laboratoire célèbre et la culture familiale en est marquée. N’oubliez pas que le médicament tue plus que la voiture.

     

    Mais ce n’est pas qu’une question de produits à écouler. Le corps médical redoute la consultation au taux horaire du généraliste et se cherche des consultations spécialisées, autrement tarifées.

     

    Depuis 100 ans, il n’y a plus vraiment de grandes maladies à vaincre dans de larges pans de la population, le corps médical s’est retrouvé avec moins d’activité, il s’est donc conduit à inventer de la maladie. Dans les couloirs des agences, on explique qu’il faut bien lutter contre le chômage des médecins !

     

    Une opération de psychiatrisation

     

    C’est aussi une énorme opération de psychiatrisation. Un faux et usage de faux. Dès lors que vous relevez d’un trouble, vous n’êtes plus « normal ».

     

    L’inventeur des TDAH (Troubles Déficit de l’Attention et de l’Hyperactivité) avoue que cette maladie n’existe pas. Le TDAH est « une maladie fictive » ! Le saviez-vous ? Pourtant, on enferme encore aujourd’hui, et chaque jour, des gens qui en sont atteints. Et des gens gagnent beaucoup d’argent avec ça, il y a des spécialistes qu’on consulte !

     

    C’est ce qui est en train d’émerger dans le monde libre, de l’autre côté du rideau de blouses blanches. D’ailleurs, voyez cet article: http://www.cchrint.org/psychiatric-disorders/

     

    Et si cela ne suffisait pas, rappelons-le: il y a un « mythe » des maladies mentales.

     

    On enferme des gens pour un trouble qu’ils n’ont pas ?

     

    Imaginez que nous inventions le TDS, Trouble de la Déficience de Scolarité, pour parents se posant des questions sur l’école, vous pouvez être sûrs que ce serait repris allègrement par des tas de « professionnels », comme autant d’escrocs se jetant sur les naïfs. Pour que l’opération ait du succès, nous serions soutenus par un gros labo. Ce labo aurait des journalistes amis et lancerait une campagne. On parlerait d’un cas anecdotique transformé en « phénomène de société ». On sortirait des stats, sérieuses ou pas, peu importe en fait. En quelques années, ce serait établi solidement, même si quelques malheureux médecins honnêtes s’avisaient de clamer la vérité (c’est l’effet rouleau-compresseur). Au cas où l’un d’eux se ferait remarquer, on l’attaquerait sur le plan personnel, voire on le piègerait.

     

    Pour finir, le « trouble » entrerait dans les mœurs. Les parents y croiraient, les « malades » aussi. Un jour, vous apprenez que votre enfant a un TDS, un trouble de déficience de la scolarité.

     

    (entretemps, nous découvrons un article qui annonce un nouveau trouble ! Maintenant, il y a le trouble de ceux qui ne sont pas d’accord avec le système: http://etat-du-monde-etat-d-etre.net/de-la-societe/science-du-controle/creativite-et-non-conformisme-desormais-une-maladie-mentale. Notre raillerie prophétique ?)

     

    C’est ce qui s’est passé avec le TDAH !

     

    L’hyperactivité de l’enfant est aussi largement une création

     

    On peut inventer un « trouble » à chaque fois qu’il y a un problème. TDM: Trouble du Doute des Médias, TEPI, Trouble de l’Envie de Payer ses Impôts, et si ça ne fait pas assez savant, ajoutons des mots: TCDOS, trouble compulsif de la dys-organie sensorielle (on mettrait dedans des gens qui ressentent moins le sens du toucher); ça le fait, non ? Quel patient va douter ? ça fait si scientifique, aucune maman ne va dire « qu’est-ce que c’est que cette histoire ? », non, elles vont toutes acquiescer sagement, s’incliner devant la science.

     

    Les troubles de l’attention et de l’hyperactivité ont été inventés.

     

    Le truc, c’est d’inventer des maladies, des pathologies. Vous bougez: on vous étiquette.

     

    Regardez ces images, les premières que nous ayons filmées en numérique:

     

    Evrard faisait le fou, et il le faisait souvent. Jamais nous n’avons pensé qu’il était hyperactif. A demi agité du bocal ça oui ;-) mais hyperactif, non. Sérieusement, un enfant, ça bouge !

     

    Alors, qu’en est-il vraiment de l’hyperactivité ? Dans 99.9% des cas, on parle de gens à qui le système éducatif ou les parents n’offrent pas les moyens d’évacuer leur énergie et/ou imposent des conditions d’existence qui les pousse à réagir ou sur-réagir.

     

    Autrement, nul trouble, nulle maladie, mais réaction naturelle.

     

    Une fois encore, mettez 30 adultes dans une salle, interdisez-leur de bouger, demandez-leur de rester sagement. L’un d’eux finira par se lever, avant qu’une heure soit passée. C’est alors qu’on le déclarerait hyperactif.

     

    Dès qu’un enfant bouge, l’institution scolaire dit qu’il a un problème. Tel cet enfant de cinq ans qu’on a accusé de harcèlement sexuel la semaine dernière dans le Colorado, alors qu’il a fait un baise-main à sa petite voisine. Tels ces nombreux enfants qu’on dit « hyperactifs » alors qu’ils ont simplement de l’énergie que l’école est incapable de prendre en charge, en tous cas en France. Comment se fait-il qu’il y ait 15% d’hyperactifs dans un établissement et aucun dans un autre ? C’est tout simplement que certains établissements gèrent très bien l’énergie de l’enfant.

     

    Mettez 30 adultes dans une salle de classe pendant huit heures et ennuyez-les consciencieusement. Nous vous faisons la promesse que vous aurez des bagarres et du chahut beaucoup plus vite qu’avec les enfants. Les enfants sont très patients, ils encaissent beaucoup.

     

    Mais ils ne peuvent pas lire si on ne leur a pas appris et ils ne peuvent se comporter bien si on les ennuie ou on les provoque. Le soir, si vous voulez que le petit dorme, il est clair que vous allez veiller à ce que le grand frère ne vienne pas l’énerver.

     

    Et par conséquent, dire qu’ils sont dyslexiques ou hyperactifs est un scandale, une irresponsabilité et une preuve d’incompétence. Le danger n’est pas l’enfant, le danger est ce système qui peu à peu psychiatrise l’enfant. Soyons vigilants.

     

    Nous vous faisons la promesse que votre enfant réussira brillamment si on utilise avec lui la bonne méthode. Et à ce moment-là, comme des centaines de parents qui parlaient de dys-bidule, vous direz: « J’y croyais, avant. » Nous voulons vraiment vous transmettre ce message d’espoir: l’enfant peut réussir et dire qu’il a un problème fait exactement le contraire: ça ruine ses possibilités.

     

    Nous avons connu plein d’enfants prétendument « hyperactifs ». Aucun ne l’était en réalité ! Ils étaient concentrés par ce que nous leur racontions, très calmes et attentifs quand nous leur faisions cours, il était visible qu’ils n’avaient jamais eu de cours comme ça, simplement de bons cours avec un vrai contenu et une méthode honnête; et ils étaient satisfaits des pauses qui arrivaient au bon moment. Ils étaient tous plein de vie et leurs parents, la plupart du temps, les acceptaient très bien comme ils étaient, prenaient beaucoup de distance vis-à-vis du diagnostic médical. Ils étaient ravis d’apprendre que leur enfant allait bien, selon nous. Et, s’étant organisés comme il le fallait… le trouble a magiquement disparu. L’enfant fait un sport épuisant, il a des activités, et tout d’un coup il n’est plus « hyperactif ».

     

    Il y a enfin la dimension sanitaire du problème.

     

    La santé, une piste

     

    Dans cet article, plusieurs pistes sont proposées. L’auteur convient avec nous que le « TDAH » est tout autre chose que ce qu’en disent les profiteurs (sites nombreux, spécialistes etc.). C’est un article dans lequel vous aurez des conseils précis à suivre.

     

    Les phosphates créent-ils les hyperactifs ?

     

    Voici une lettre d’Augustin de Livois (abonnez-vous gratuitement ici), on apprend que les phosphates pourraient être partiellement responsable de l’hyperactivité. Cette piste est sans doute intéressante, de même que l’alimentation en général.

     

     Vous avez cette autre piste, également.

     

    Présupposés

     

    Dans un échange que nous avons eu récemment, nous disions:

     

    « Pour réfléchir à cette question de l’école à la maison ou pas, il est bon d’abandonner un peu les présupposés. Votre enfant n’est pas une classe, et donc ce qui marche pour une classe manque de quelque chose qui va s’adresser plus particulièrement à l’enfant.

     

    Oui, le « bon comportement » peut être bon pour l’enfant et la classe. Mais le « mauvais comportement » que l’on suppose en disant ça… n’existe pas. Il n’y a pas de mauvais comportement. En fait, le mauvais comportement est une merveilleuse réaction de l’enfant qui nous dit à sa manière « alerte, ça ne va pas du tout pour moi ! »

     

    Le pire que nous ayons à craindre, c’est que l’enfant ne réagisse plus, comme tous ces petits enfants qu’on met sous RISPERDAL ou autre. On peut dire que le mauvais comportement, c’est l’absence de comportement.

     

    Nous ne cherchons pas à obtenir un « bon comportement » de l’élève, c’est une impasse, c’est comme d’essayer de faire en sorte que la bouteille ne roule pas sur le pont du navire. Nous cherchons à ce qu’il ne soit pas conduit à ce mauvais comportement.

     

    Votre fils n’est pas trop énergique, il est comme il est, et son énergie est merveilleuse. Imaginez-le amorphe devant une télé ou allongé dans le coma, à l’hôpital, et alors vous regretteriez son énergie. Imaginez qu’il ait 18 ans et que la maison brûle, ne seriez-vous pas fier qu’il vous emporte hors de la maison en fracassant du pied une porte bloquée ?

     

    Imaginez-le autrement en fait: vous n’en seriez pas réellement heureuse, car vous savez au fond de lui que c’est VOUS qui lui avez donné cette énergie.

     

    L’énergie est ce dont l’homme manque le plus. C’est grâce à elle que les grands progrès sont possibles, il faut énormément d’énergie pour inventer, créer, affronter les adversités.

     

    Votre fils a de l’énergie, il a un trésor, il vous emmènera au bout du monde si vous lui en donnez la chance. On a besoin d’hommes, il en sera un.

     

    L’enfant à qui on donne ce dont il a besoin a un super comportement. C’est aussi simple que ça.

     

    Un enfant qui va mal dit par son comportement: « l’adulte qui s’occupe de moi ne comprend pas ». Autrement dit, le travail est à faire sur l’adulte.

     

    Ce n’est pas facile quand on n’y a pas réfléchi et qu’on ne s’est pas exercé. Un grand pédagogue est un pédagogue qui a exercé son savoir et qui a aussi du talent, de la créativité, c’est vrai, et ce n’est pas donné à tout le monde.

     

    Voilà: si votre fils ne cadre pas à l’institution, soit l’institution comprend et change, soit vous devez trouver une autre solution.Nous espérons que cela vous apporte de la réflexion.

     

    Amitié »

     

    La réponse de la maman:

     

    « Merci infiniment pour votre réponse rapide et avisée. J’ai toujours su que la vivacité et l’énergie de mon enfant était une richesse et à force de convertir cela en pénibilité, j’ai commencé à ressentir une profonde culpabilité : suis je une bonne mère ? Je pense que mon enfant doit vivre sa vie d’enfant et que si certains membres de l’institution ne peuvent pas faire preuve de créativité et de pédagogie car il en faut pour captiver un enfant, alors je prendrai d’autres mesures. Je vois bien que l’école ne l’épanouit pas. L’année dernière, il a eu un professeur de talent qui a su faire preuve de discernement, sachant faire la part des choses. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas.

     

    Merci encore pour votre vision des choses on ne peut plus positive et enrichissante.

     

    Très cordialement

     

    Très bonne vidéo à voir: on y parle d’une « épidémie fictive »:

     

     

     

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  • Sur le forum ZEBRAS CROSSING, clemstevenson5 (16 ans) a lancé un débat passionnant sur la relation entre le TDA/H et la douance. En faisant la synthèse entre plusieurs sources, il est parvenu à la conclusion que beaucoup de surdoués manifestent ce trouble du déficit d'attention/hyperactivité.

    C'est en tous les cas l'hypothèse également avancée par l'excellente source encyclopédique WIKIPEDIA sur ce trouble qui semble se manifester avec les mêmes symptômes que ceux produits par la douance. Le décalage du sujet surdoué se retrouve alors encore bien davantage amplifié par rapport au milieu extérieur en la présence de ce trouble. Le TDA/H fait un effet loupe sur les caractéristiques hors normes de l'intelligence de l'individu par un comportement survolté, même si son QI n'est pas particulièrement élevé. Le TDA/H semble d'ailleurs avoir tendance à minimiser la valeur du QI.

    Il en ressort effectivement l'existence de deux grands types de surdoués :

    - Les surdoués sans TDAH qui eux sont plus attentifs et réussissent mieux les test de QI (surdoués matheux) mais qui peuvent aussi présenter des signes de TDAH en cas d'ennui.
    -
    Les surdoués avec TDAH qui eux sont souvent dans "les nuages", leur hyperactivité ou leur déficit d'attention peuvent les faire rater les tests. Ils auraient un QI verbal bien supérieur au QI de performance, ce sont des surdoués davantage "littéraires".

    Au travers de ce débat, je pense que je touche au but et que je progresse encore sur la connaissance sur moi. Il semblerait que je sois touché depuis l'enfance par ce trouble du déficit de l'attention/hyperactivité car appartenant sans aucun doute à la seconde catégorie marquée par un rejet des maths ainsi que d'excellentes aptitudes littéraires indéniables. Ma scolarité chaotique jusqu'en 2003 et ma vie de tous les jours dans la sphère personnelle ou professionnelle, attestent de ce déficit qui se poursuit à l'âge adulte pour au moins 50-60% de surdoués.

    *Ce déficit se caractérise notamment par ces signes :

    • Impulsivité
    • Hyperactivité
    • Facilement irrité et frustré
    • Sautes d'humeur, surtout quand dérangé lors d'une activité
    • Inattention et difficulté de se concentrer pour une période prolongée
    • Moments d'absences
    • Oublis fréquents
    • Trop de choses en tête à la fois
    • Faible tolérance à l'ennui
    • Difficulté de suivre les procédures établies
    • A des crises de nerfs explosives (et parfois prolongées)
    • Est défiant et refuse de se conformer aux règles
    • La compagnie lui provoque l'ennui et préfère les activités individuelles
    • Rejette la compagnie des autres
    • Gigote des mains et des pieds
    • A des états d'humeur
    • A des difficultés à évaluer le temps
    • Changements fréquents de hobbys, de centre d'intérêts, de travail, etc
    • Agitation, surexcitation
    • Manque d'organisation

    Tout au long de ma scolarité en prenant de l'âge et tout le long de ma vie d'adulte, je suis parvenu à me corriger sur un nombre assez important des signes de ce déficit. Ce fut un effort de tous les instants, beaucoup de volonté et de courage personnels. Prendre le contrôle sur son naturel est une véritable lutte acharnée au travers de laquelle on apprend véritablement à se dominer et c'est toujours un sentiment d'honorabilité que l'on ressent quand on y arrive car ce sont souvent les autres qui le remarque et qui vous en manifeste la reconnaissance.

    *Pour un surdoué, on constate la manifestation du TDAH par ces signes :

    • Un perfectionnisme maladif pouvant conduire à l'improductivité
    • Peur de l'échec
    • Opposition à l'autorité d'un professeur
    • Fait preuve de peu d'attention en classe car il s'ennuie
    • Souffre d'un manque d'estime de soi
    • Excessif dans ses intérêts
    • Attentionné
    • Caractère très fort
    • Impatient avec les autres
    • Perçu comme têtu, borné
    • Néglige ses devoirs
    • Possède un drôle de sens de l'humour que les autres ne comprennent pas

    *Il est notamment démontré aujourd'hui que le TDAH est présent à 80% dans des personnes manifestant au moins un de ces trois signes aggravants :

    • Dyslexie
    • Nées prématurément
    • Ceux qui ont manqué d'oxygène au moment de la naissance

    On note également chez les sujets manifestant le TDAH, un chevauchement important et extrême avec les troubles addictifs (Addiction) comme par exemple (Dépendance au jeu vidéo, Internet, un Surentraînement physique et dépendance de la musique) ce qui emmène le patient à perdre la notion du temps (l'individu en question ne voit pas le temps passer).

    Le TDAH se manifeste chez moi par une dépendance depuis toujours à la musique pour tirer correctement partie des merveilleuses facultés imaginatives de mon cerveau ainsi qu'une légère addiction à internet et à l'informatique en général. Addiction produite par mon extrême curiosité, ma créativité débordante difficile à organiser et à canaliser, mon soucis d'en savoir toujours plus ; ce sont les traits comportementaux caractéristiques d'un sujet surdoué. Internet est la grande bibliothèque pour le savoir ouverte 24h/24, actualisée en permanence ainsi que le grand support de communication et de créativité à l'échelle mondiale (blogs, sites internet, albums photo,...). Internet fut la porte d'un équilibre intérieur et d'un équilibre en société pour moi.
    Je dois beaucoup à internet pour mon épanouissement et ma joie de vivre chaque jour.

    Ces recherches et ma participation aux forums de "zèbres" m'ont donc conduit à découvrir que je suis décidément un adulte surdoué bien complexe qui cumule la quadruple peine :

    • Une douance initialement mal vécue durant l'enfance
    • Des problèmes de vue et d'ouïe au tout début de ma vie
    • Quotient de créativité exceptionnellement élevé
    • Trouble du déficit d'attention/hyperactivité

    Arnaud FIOCRET © 2011 Toutes les images ainsi que les textes de ce site sont protégés par les lois internationales sur le copyright et ne peuvent être utilisés, sous quelque forme que ce soit, sans une autorisation écrite de son auteur. © Copyright Arnaud FIOCRET. 

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  • Un bilan complet Une prise en charge spécialisée Une équipe multidisciplinaire

     

     

    http://www.cogitoz.com/

    Une réponse claire et efficace pour les enfants et les adolescents en difficulté

     

      Cogito’Z, créé et dirigé par Jeanne Siaud-Facchin, répond à la demande actuelle des enfants et de leur famille face à la pression croissante de l’école dont les enjeux de réussite dépassent largement le cadre strict des apprentissages. L’échec scolaire a de lourdes conséquences pour l’avenir personnel et psychologique de l’enfant. Un problème scolaire est le premier signe par lequel l’enfant exprime sa souffrance. Cogito’Z prend en compte l’urgence de relancer l’enfant sur le chemin de sa réussite et de son plein épanouissement.  

     

    Une perspective intégrative

     

      Les difficultés sont toujours comprises et resituées dans une approche globale de l’enfant en intégrant le fonctionnement affectif. Cogito’Z fait bénéficier tout enfant d’un bilan complet afin de comprendre l’origine et la nature des difficultés et mettre en place, rapidement et efficacement, la prise en charge la mieux adaptée. Les tests proposés permettent d’évaluer comment l’enfant pense, raisonne, se situe face aux apprentissages, comment il mémorise, quelles sont ses capacités d’attention, de concentration, quels sont ses points forts, ses points faibles. Un niveau d’intelligence générale sera dégagé (Q.I.). La personnalité de l’enfant, son équilibre psychologique, la gestion de ses émotions, la confiance qu’il a en lui-même, le stress qu’il peut ressentir face à certaines situations d’apprentissages,… seront également étudiés et complèteront la compréhension des difficultés. Un objectif essentiel: Comprendre l’origine des difficultés pour une aide adaptée et personnalisée.  

     


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  • Revenez régulièrement pour découvrir les nouvelles vidéos éducatives. Une vidéo sera mise en ligne chaque semaine.

    Ces vidéos ont pour vocation d'instruire, de manière ludique, sur les troubles de l'enfance et de l'adolescence.

     

     

    Suivez les aventures de notre héros hyperactif

     

     

    Cette vidéo est volontairement caricaturale afin de représenter un maximum de symptômes.

    Notre héros chez le médecin

     

     

    Le diagnostic chez le médecin. Cette version est en anglais, version française très prochainement

     

    Suivez les aventures de notre héroïne qui présente des TOC

     

    http://hyperactiviteparis.com/les-vid%C3%A9os/


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