• Equitation à Six-Fours-les-Plages pour les enfants d'Autisme PACA

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Equitation à Six-Fours-les-Plages pour les enfants d'Autisme PACA

    l'association offre  en totalité des séances en Club équestre à Six-Fours au Ponys'Ranch.

    C'est une activité qui peut participer activement au développement des compétences sociales et influer notablement sur la communication de la personne autiste.

    Lien vers le site du Ponys'Ranch :

    http://www.ponysranch.com/

    Le cheval et  l’animal en général, peut  être le vecteur et le support pédagogique pour donner plus d’autonomie, renforcer la confiance en soit, valoriser l'enfant autiste et asperger.

    Prendre soin du cheval ( en le brossant par exemple) peut  aider l’enfant avec autisme à développer son sens des responsabilités et certaines aptitudes sociales.
    Et tout simplement c'est du bonheur !!!!!

     



     

    http://autismepaca.wifeo.com/equitation-enfants-autistes-et-aspergers-avec-autisme-paca.php

     


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  • Trois applis mobiles gratuites au service des enfants autistes - See more at: http://www.voixdespatients.fr/a-la-une/trois-applis-mobiles-gratuites-au-service-enfants-autistes/#.U4Yzgvl_ugu

     

    http://www.voixdespatients.fr/a-la-une/trois-applis-mobiles-gratuites-au-service-enfants-autistes/#.U4Yzgvl_ugu


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    TDAH - LES PANDAS DU FINISTERE
    Le TDAH s'est invité chez nous (mari et fils) . Ce blog est en sorte ma prise de notes de ce que je trouve au fil du temps sur le sujet , y compris des témoignages ( trouvé ou recueillis) . Pour les aider au mieux je dois maitriser le sujet : that's ME !

     

    http://panda29tdah.canalblog.com/


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  • Merci Annaba Autisme

    VIDÉO. Une application pour détecter l’autisme chez les enfants.
    Des chercheurs américains travaillent actuellement sur une application sur tablette capable de détecter les premiers signes de ce trouble chez l’enfant.

    PRÉVENTION. Concevoir une application pour tablettes qui permet de repérer les premiers signes de l’autisme chez l’enfant : tel est le défi que s’est lancé une équipe de scientifiques de la Duke University, en Caroline du Nord (États-Unis). Mené par Jordan Hashemi, un étudiant en ingénierie électrique et informatique, le groupe a mis au point un programme qui analyse le comportement de jeunes enfants qui passent des tests de diagnostic enregistrés sur vidéo.
    Selon ces chercheurs, les résultats seraient aussi efficaces que ceux obtenus par des spécialistes de l’autisme. D’après Jordan Hashemi, le but n’est cependant pas de remplacer les médecins mais plutôt de les aider à établir un meilleur diagnostic.
    En effet, lors des tests qu’ils réalisent, il leur faut à la fois prêter attention au comportement et aux temps de réactions de l’enfant, un exercice complexe qui peut parfois entraîner un manque de précision dans les mesures. En plus d’aider les experts, ce programme pourrait ainsi permettre de détecter le plus tôt possible le trouble, dont les symptômes sont d’autant moins prononcés qu’il est identifié rapidement.
    Un programme qui pourrait s’avérer pratique
    DÉTECTION. Trois tests ont été pratiqués sur 12 jeunes enfants pour évaluer la performance de ce programme, qui consistaient à agiter un jouet à gauche ou à droite de l’enfant, à le déplacer dans son champ de vision ou bien à jouer avec lui au ballon. Le temps nécessaire pour qu’il suive l’objet du regard est alors mesuré.
    L’analyse vidéo semble porter ses fruits, de par son caractère pratique, mais également en termes de résultats d'après les expérimentateurs. Pour Amy Esler, pédiatre qui effectue des recherches sur l’autisme à l’université du Minnesota : "le programme a le potentiel pour analyser automatiquement le regard de l’enfant ou même ses déplacements, afin d’y trouver d’éventuels signes qui seraient différents du développement classique".

    APPLICATION. Le projet semble ambitieux et prometteur, à tel point que les chercheurs travaillent d’ores et déjà à la conception d’une application sur tablette. Hashemi explique que le programme étant non-invasif, il pourrait être utilisé dans des écoles ou des cliniques, un moyen simple et pratique de prévention. Il suffirait pour un parent, un professeur ou un médecin d’installer l’enfant devant la tablette pendant quelques minutes.
    Bien évidemment, ce programme ne dispenserait pas d’aller consulter un spécialiste à la moindre suspicion de symptômes et de suivre les recommandations officielles des organismes de santé.
    in
    http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20140527.OBS8594/video-une-application-pour-detecter-l-autisme-chez-les-enfants.html

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=dPPCD7OPX9E

    Des chercheurs américains travaillent actuellement sur une application...
    SCIENCESETAVENIR.FR

     


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  • Le TDA est-il une maladie mentale?

     

    par Cynthia Hammer, MSW, ACSW

     

    Le trouble de l'attention est-il une maladie mentale? Que signifient les expressions suivantes: maladies mentales, troubles du cerveau, troubles neurobiologiques? À mesure que les tomographes (PET scans et SPECT), l'imagerie à résonance magnétique et le génie génétique nous en apprennent davantage, nous comprenons de mieux en mieux pourquoi certains cerveaux ne fonctionnent pas comme les autres. Nous attribuons maintenant à la nature (une nature fautive ou un bagage génétique déficient) des comportements anormaux et inacceptables que les chercheurs attribuaient auparavant presque exclusivement à la culture, c'est-à-dire à une mauvaise éducation.

    Nous appelons malades mentaux les individus aux comportements «très» anormaux; et nous qualifions de troublés ou perturbés les individus aux comportements légèrement anormaux. Les psychiatres évitent encore soigneusement la question des individus troublés ou perturbés ou qui ont des lésions cérébrales mineures, à savoir si ces individus sont atteints ou non d'une maladie mentale. En ce qui me concerne, lorsque «quelque chose ne tourne pas rond entre les deux oreilles» et que ce «quelque chose» perturbe le fonctionnement quotidien de la personne, alors je considère qu'il s'agit d'une maladie mentale.

    Bien que cette façon de voir les choses puissent m'attirer les foudres des déficients attentionnels, laissez-moi m'expliquer. Il me semble tout à fait juste en effet de considérer le TDA comme une maladie mentale. Il y a plusieurs années, il aurait semblé tout à fait raisonnable de distinguer les malades mentaux «lourds», c'est-à-dire les psychotiques, des malades mentaux «endurables» tels que les déficients attentionnels. Mais nos connaissances récentes sur le cerveau permettent, selon moi, d'éliminer cette distinction.

    Tous ceux d'entre nous qui ont un diagnostic tiré du DSM-IV ont un dérèglement quelconque dans le cerveau, un dérèglement suffisamment sévère, susceptible de perturber leur vie quotidienne. Certains individus sont plus sévèrement déréglés que d'autres; et certains médicaments sont plus utiles à d'aucuns qu'à d'autres. Mais, en ce qui me concerne, je crois que nous sommes tous plus ou moins déréglés, ou plus ou moins fonctionnels, selon ce que notre cerveau [ou nos «nerfs»!] nous permet[tent] de fonctionner.

    Nous souffrons d'une maladie mentale lorsque nous n'arrivons pas à faire ce que nous devons au quotidien et que nos piètres réalisations sont directement imputables à une dysfonction cérébrale. Je crois que, dans un avenir certain, nous pourrons identifier avec exactitude les régions du cerveau qui ne fonctionnent pas suffisamment bien et nous pourrons cibler ces régions avec une médication appropriée. Il n'y aura donc plus de DSM pour catégoriser et décrire une gamme de plus en plus étendue de maladies mentales. Au lieu de cela, nous aurons une carte géographique du cerveau et une liste de médicaments ou de «trucs» à employer lorsque une région particulière du cerveau ne fonctionne pas comme elle devrait.

    Dans son livre Shadow Syndromes, le docteur Ratey prétend que personne ne possède un cerveau parfait, bien que la plupart d'entre nous ayons un cerveau «suffisamment sain» pour fonctionner adéquatement, et même très bien, dans la vie quotidienne. On considère donc qu'un cerveau est «relativement sain» quand il ne présente pas de défauts de structure ou de fonctionnement. Ainsi, les personnes qui ont un cerveau «relativement sain» sont dites «normales». Un cerveau «relativement sain», même s'il n'est pas parfait, est acceptable.

    Sur une courbe en forme de cloche par exemple, les personnes qui ont un cerveau relativement sain constituent la majorité, alors que ceux d'entre nous qui ont un cerveau tant soit peu mal formé [dysmorphique] ou même gravement endommagé, constituent la minorité. Ceux qui ont un cerveau plus ou moins mal formé couvrent toute la gamme des maladies cérébrales, de légères à graves. Le docteur Ratey prétend que, quand nous avons hérité de seulement quelques gènes défectueux, nous avons un trouble léger. Cependant, si nous avons hérité d'un grand nombre de gènes défectueux, le trouble peut s'avérer plus grave.

    J'aime à comparer notre façon de concevoir le cerveau à notre façon de concevoir le corps. Combien d'entre nous considèrent qu'ils ont un corps «parfait»? Combien souhaiteraient participer à un concours de Miss ou Mister America? Pourtant, nous avons pour la plupart un corps suffisamment sain pour fonctionner normalement ou même superbement dans la vie quotidienne. Nous avons pour la plupart un corps ou une santé physique qu'on peut qualifier d'«acceptable» ou normal. Toutefois, certaines personnes ont un handicap ou une maladie physique qui les rend incapables, et de façon significative, de fonctionner normalement. Nous disons alors que ces personnes ont un fonctionnement restreint ou une santé restreinte.

    Il en est de même pour les maladies du cerveau. Lorsqu'elles gênent notre fonctionnement quotidien de façon significative, nous avons un problème de santé mentale, nous avons des troubles cérébraux, nous avons une maladie mentale.

    Il y a huit ans, on a découvert avec étonnement que des adultes pouvaient avoir, et ont effectivement, un TDA; et que les enfants qui ont un TDA l'auront toute leur vie. Plus récemment encore, on a découvert que les adultes, autant que les enfants, qui ont un TDA ont souvent d'autres problèmes associés tels que des problèmes d'apprentissage, des tendances dépressives, des troubles obsessionnels-compulsifs, de l'anxiété, des troubles bipolaires et ainsi de suite. Il faut donc davantage de qualifications aux cliniciens pour poser le bon diagnostic, pour identifier les symptômes concomitants et pour décider lesquels il faudra traiter et dans quel ordre.

    De plus, les recherches démontrent de mieux en mieux qu'il y a un lien entre les différents troubles cérébraux. Alors que certains chercheurs espéraient initialement découvrir un gène défectueux à l'origine de l'alcoolisme, du TDA ou de la maladie bipolaire, ces chercheurs découvrent maintenant qu'il y a, non pas un gène, mais un groupe de gènes défectueux à l'origine de plusieurs troubles. Des membres d'une famille peuvent hériter d'un certain nombre de gènes défectueux de ce groupe alors que d'autres membres de la même famille hériteront d'autres gènes défectueux de ce même groupe. Ainsi des membres d'une même famille auront des dysfonctions cérébrales différentes. Toutefois, quand le bassin génétique familial contient ces gènes défectueux, tous les membres de cette famille courent des risques plus grands d'hériter d'un ou de plusieurs de ces gènes défectueux.

    Les docteurs Hudson et Pope de l'hôpital MacLean au Massachusetts ont été les premiers à proposer l'idée de troubles du spectre affectif, c'est-à-dire un ensemble de problèmes de santé mentale qui affectent des familles entières. Les recherches démontrent que ces différents troubles affectifs sont tous intereliés. En fait, les médicaments absorbés pour traiter certains troubles contribuent souvent à soulager les symptômes d'autres troubles de la même personne.

    Une autre façon de comprendre les liens entre ces différents troubles consiste à considérer l'ensemble des maladies qu'on retrouve souvent dans une même famille. Un membre d'une famille peut avoir un TDA alors qu'un autre est bipolaire et un autre, dépressif. Voici donc les maladies identifiées jusqu'à maintenant aux troubles du spectre affectif.

    • Trouble affectif (unipolaire, bipolaire, schizo-affectif)
    • Trouble de l'attention (déficit d'attention)
    • Trouble de dysmorphie corporelle (body dysmorphic disorder)
    • Catalepsie
    • Troubles alimentaires (boulimie, anorexie, bombance)
    • Fibromyalgie (y compris la fatigue chronique)
    • Troubles du contrôle des impulsions
    • Syndrome d'intestin irritable
    • Cleptomanie
    • Migraines / maux de tête persistants
    • Narcolepsie
    • Troubles obsessionnels-compulsifs
    • Troubles paniques
    • Syndrome de Tourette

    Les conditions suivantes, bien qu'elles ne soient pas associées d'aussi près au spectre des troubles affectifs, semblent avoir, elles aussi, certains liens avec les conditions mentionnées ci-avant.

    • Troubles anxieux
    • Autisme
    • Douleur chronique
    • Trouble explosif intermittent
    • Jeu pathologique (gambling)
    • Pyromanie
    • Troubles de personnalité
    • Trouble du stress post-traumatique
    • Addictions et abus de substance (y compris l'alcool)
    • Trichotillomanie

    Combien y a-t-il de ces conditions dans votre famille? Dans votre famille élargie? Jusqu'à quel point pouvez-vous croire que ces désordres sont causés par une structure cérébrale défectueuse ou une chimie déréglée? Quelle compassion et quelle compréhension nous, les déficients attentionnels, pouvons-nous attendre des autres? Par la même occasion, je vous mets au défi de considérer la compassion et la compréhension que vous manifestez vous-même à l'égard d'autres personnes qui souffrent elles aussi de troubles cérébraux. Nous ne sommes pas seuls. Nous tous qui souffrons de troubles cérébraux ou de maladies mentales, si nous pouvions nous tenir unis pour exiger des soins médicaux appropriés, une éducation convenable, et des occasions d'emploi dans un monde tolérant et compréhensif, ce monde ne serait-il pas merveilleux?



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